
Hubert FIASCO de Toulon, pire que…
… Brice de Nice
Décidément, Hubert Falco n’est pas Don Rodrigue. Ni même Jean Dujardin. À Toulon, à part lui-même qui se vante régulièrement d’avoir toujours gagné toutes les élections auxquelles il s’est présenté, personne n’a jamais pris le maire Hubert Falco pour Le Cid. Corneille fait dire à Rodrigue (acte IV scène 3) la fameuse tirade, dans laquelle il s’adresse au Roi pour lui narrer sa bataille victorieuse contre les envahisseurs maures :
« L’onde s’enfle dessous, et d’un commun effort
Les Mores et la mer montent jusques au port.
On les laisse passer ; tout leur paraît tranquille ;
Point de soldats au port, point aux murs de la ville. »
Jusqu’ici, l’analogie avec l’Ocean Viking est presque parfaite. L’invasion du 11 novembre 2022 à Toulon s’est au demeurant déroulée encore plus facilement. Non seulement les « soldats au port » n’ont pas repoussé les arrivants (Maures et autres), mais encore ils ont accueilli les immigrants illégaux avec des marques de bienvenue. Et un luxe de privilèges rarement déployés, même pour des alliés ou des amis. Mieux en tout cas que nos compatriotes pieds-noirs en 1962. Le tout à l’instigation d’Hubert Falco, avec son onction caritative ainsi que sa moraline humanitaire. En complicité avec son nouveau mentor Emmanuel Macron.
« Nous partîmes cinq cents mais par un prompt renfort
Nous nous vîmes trois mille en arrivant au port »
Là, en revanche, la comparaison avec Le Cid se gâte. C’est très exactement le mouvement inverse qui affecte les nouveaux amis – très chers dans tous les sens du terme, mais peu lui importe, c’est de l’argent public – d’Hubert Falco. Il en débarque 234 le 11 novembre. Les juges lui en libèrent d’emblée 4, pour « vice de procédure ». Sur les 44 « mineurs » logés à grands frais en ville, 3 se sont fait la malle dès le lendemain, 23 autres en moins d’une semaine. Parallèlement, sur les 189 majeurs, 123 ont fait l’objet d’un avis défavorable d’entrée sur le territoire, et 108 d’entre eux ont été remis immédiatement en liberté… 3 « cas sanitaires » et 1 « accompagnant » avaient déjà été évacués. Et l’attrition continue : « la situation évolue de minute en minute » a reconnu le ministère de l’Intérieur devant le Conseil d’Etat. Traduction : tout est hors de contrôle, plus personne ne sait combien il reste de débarqués du 11 novembre dans l’agglomération toulonnaise. Ni où sont ceux qui ont pris la poudre d’escampette. Du coup, on s’éloigne de plus en plus du Cid. Car malheureusement Hubert Falco ne peut pas nous dire :
« Pour souffrir ce devoir leur frayeur est trop forte :
Le flux les apporta ; le reflux les remporte »
Cette piteuse affaire lui vaut déjà le sobriquet « Hubert Fiasco ». Le ravi de la crèche Brice de Nice en vrai, quoi. Sauf que Jean Dujardin, lui, le faisait exprès, dans un rôle de composition très bien joué.
« Et le combat cessa faute de combattants ».
Pas sûr : au bord de la rade, on n’a peut-être pas de rancune, mais on a une bonne mémoire.
Marc Desgorces-Roumilhac
Au final rien ne change depuis des décennies. Chacun défend son bout de gras en mettant la faute sur l’autre. La volonté politique existe uniquement pour faire taire ceux qui n’ont autres arguments que la pensée unique du gouverne(ment).
Personnellement je suis opposé fermement à faire rentrer des migrants quels qu’ils soient, tant que sur notre sol, des pauvres gens meurent de faim et de froid, pour faire court. Évidemment je ne suis pas dupe. Voilà une bonne solution à faire accepter un salaire unique à 500 balles net. Sauf que nous autres, nous ne sommes pas pas logés à la même enseigne.
Une histoire lamentable où on découvre que le gouvernement ne maîtrise plus rien dans son propre pays.
Erreur ! Les Identitaires qui ont occupé pacifiquement le toit d’une mosquée en construction pour déployer une banderole ont été arrêtés par la police et lourdement condamnés par l’ajustice. Ce n’est pas un fiasco mais la continuation d’une invasion programmée de longue date. Tout doit disparaitre surtout ce qui reste de Français de souche, c’est même le seul but poursuivi par les gouvernements successifs dans tous les domaines. Les électeurs sont heureux de creuser leur propre tombe.