Mise en scène macabre de Boutcha : nous avions bien raison

par | 29 décembre 2023 | 1 com­men­taire

Dès son lan­ce­ment en avril 2022, nous dénon­cions le mas­sacre de Boutcha comme une sor­dide mani­pu­la­tion du camp occi­den­tal(1)

Boutcha - Manipulation médiatique

Toute la presse sub­ven­tion­née s’est jetée sur cette mani­pu­la­tion pour dia­bo­li­ser la Russie, qui — de son côté — avait immé­dia­te­ment deman­dé une enquête. Un an et demi plus tard aucune enquête n’a été lan­cée, aucun nom de vic­times n’a été publié.

Moscou dénonce donc à pré­sent offi­ciel­le­ment cette igno­mi­nie par la voie diplo­ma­tique. Pour Maria Zakharova, porte-parole du minis­tère des Affaires étran­gères de Russie, l’ab­sence de preuves appor­tées par Kiev « indique une mise en scène ». Elle y voit une ana­lo­gie avec le mas­sacre de Nemmersdorf(2) dont l’Armée rouge avait été accu­sée en 1944 par les nazis.

La presse sub­ven­tion­née qui titrait sur le mas­sacre de Boutcha, ne publie aucun démenti.

Calomniez, calom­niez, il en res­te­ra tou­jours quelque chose (Francis Bacon)(3).

L’effet « Nemmersdorf » [source]

Q

Francis Bacon, né le 22 jan­vier 1561 à Londres et mort à Highgate près de la même ville en 1626, baron de Verulam, vicomte de St Albans, Chancelier d’Angleterre, est un scien­ti­fique, un phi­lo­sophe et un homme d’État anglais [plus ici].

Q

1 commentaire

  1. Toute l’hor­reur ota­­no-nazie dans cet acte qui devrait déclen­cher opprobre et iso­la­tion inter­na­tio­nales…… en temps normal.

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