La guerre des deux mondes

par | 17 octobre 2024 | 4 Commentaires 

Les gens lucides, c’est-à-dire ceux qui ont échap­pé à l’endoctrinement géné­ral et qui ont donc gar­dé un mini­mum de bon sens, ont tou­jours une lon­gueur d’avance ; ils ont tou­jours, pour leur mal­heur, rai­son trop tôt ; ceux qu’on appelle com­plo­tistes sont ceux qui devinent à l’avance les pro­jets des com­plo­teurs.
La lobo­to­mi­sa­tion des popu­la­tions par l’Ordre mon­dial, qui fut par­ti­cu­liè­re­ment effi­cace en Europe et sur­tout en France, n’a pas débu­té en 2020 avec la pseu­do-pan­dé­mie et le pseu­do-vac­cin, qui étaient tous les deux des ins­tru­ments des­ti­nés à réduire les popu­la­tions et à ini­tier l’hybridation homme-robot vou­lue par les trans­hu­ma­nistes. Cette date indique juste le moment où « l’élite » mon­dia­liste actuelle, héri­tière des sectes sata­nistes qui l’ont pré­cé­dée, a jugé qu’il était temps de don­ner le coup de grâce final, les peuples ayant été suf­fi­sam­ment dés­in­for­més depuis des décen­nies, des siècles et des millénaires.

54 secondes de lecture, 90 % de lecteurs en moins

À par­tir de cet ins­tant, c’est-à-dire 54 secondes de lec­ture, j’ai déjà per­du 90 % de mes lec­teurs poten­tiels.
C’était exac­te­ment mon but ; si ces 90 % n’ont tou­jours rien com­pris à l’énorme mani­pu­la­tion dont ils sont les vic­times, il n’y a plus grand-chose à ten­ter pour qu’ils ouvrent enfin les yeux. D’autant plus que les mon­dia­lo-sata­nistes ne cachent plus rien de leurs pro­jets !
À la véri­té, ce n’est pas tant qu’ils sont stu­pides ou non-édu­qués puisqu’on trouve par­mi eux, et même en majo­ri­té, des gens ayant reçu une ins­truc­tion supé­rieure, mais c’est parce qu’ils refusent abso­lu­ment de se remettre en ques­tion et de sor­tir de leur « zone de confort » (com­pre­nez : de leur fau­teuil et de leur télé ins­tal­lée au beau milieu de leur salon), ce qui ferait d’eux des révo­lu­tion­naires éven­tuels.
Je ne m’adresse donc qu’aux 10 % res­tants (soyons opti­mistes, à l’échelle pla­né­taire, ça fait quand même 800 mil­lions d’individus et, à l’échelle fran­çaise 7 millions !)

Où sont passés les Gaulois ?

Il est vrai­sem­blable que ce qui les a le plus cho­qués (je parle des 90 % qui ont renon­cé à pour­suivre la lec­ture de cet article au-delà de ces 54 secondes), c’est que je fais remon­ter à des mil­lé­naires le début de leur endoc­tri­ne­ment que je situe au début de l’Âge de fer, le kali-yuga, le début de notre fin de cycle indo-euro­péen, qui cor­res­pond, est-ce un hasard ? aux débuts de l’écriture, vers 4500 avant notre ère.
Les his­to­riens ne remontent guère leurs recherches au-delà de 800 ans avant J.-C., tout ce qui pré­cède étant consi­dé­ré, à peu de choses près, comme de la pré­his­toire, quelque chose de très flou, en gros, l’âge des cavernes, où les hommes ont seule­ment appris, en plu­sieurs mil­lions d’années, à lever un gour­din pour pou­voir se nour­rir et à des­si­ner quelques ani­maux sur la paroi de leurs grottes ; les his­to­riens offi­ciels laissent donc alors la place aux élu­cu­bra­tions de leurs col­lègues tout aus­si offi­ciels que sont les archéo­logues et anthro­po­logues qui sont cen­sés remon­ter le temps indé­fi­ni­ment grâce aux ves­tiges qu’ils vont ana­ly­ser pour trou­ver l’origine du monde, de la Terre et de ses habi­tants ; ain­si, les « his­to­riens » ne connaissent de l’Histoire du monde que le der­nier moment de notre cycle final, celui où tout est déjà en décom­po­si­tion depuis long­temps et leurs col­lègues archéo­logues et anthro­po­logues tournent en rond, butant sur les mêmes ves­tiges, la plu­part des grandes civi­li­sa­tions pas­sées ne lais­sant aucune trace de leur pas­sage, comme ce sera le cas de la nôtre.
Les études his­to­riques s’apparentent à la rédac­tion d’un jour­nal, un quo­ti­dien, qui recense les faits divers et les vies et actes des hommes res­pon­sables de ces faits divers quand ils n’ont pas leur source dans des phé­no­mènes natu­rels.
L’Histoire offi­cielle, ou pro­fane, que cer­tains consi­dèrent comme une science, n’est donc que la rela­tion de péri­pé­ties et d’anecdotes plus ou moins super­fi­cielles qui engagent les hommes et la nature, mais qui ont quand même un inté­rêt, celui de per­mettre de com­prendre, comme les symp­tômes d’une mala­die à venir – une érup­tion de bou­tons, par exemple – les mou­ve­ments de fond invi­sibles qui vont sur­gir à la sur­face comme paliers de la grande Histoire cyclique ; ces alertes consti­tuent, pour un indi­vi­du, l’avertissement qui lui est don­né de pro­cé­der à des chan­ge­ments quel­que­fois radi­caux dans ses habi­tudes de vie, et, sur le plan civi­li­sa­tion­nel, pour une socié­té tout entière, d’avoir à chan­ger de cap au risque d’un écrou­le­ment, lent ou sou­dain.
La majo­ri­té des humains ne prend comme éta­lon du temps que la durée de leur propre vie, à l’heure actuelle approxi­ma­ti­ve­ment 85 ans, les his­to­riens pro­fanes remontent à 10 fois plus loin en arrière. Les pri­mor­dia­listes – tenants de la Tradition pri­mor­diale -, eux, s’appuyant sur la durée des cycles natu­rels, ceux des civi­li­sa­tions, l’observation des mou­ve­ments stel­laires et les connais­sances trans­mises par les socié­tés tra­di­tion­nelles, élar­gissent consi­dé­ra­ble­ment leur vision du monde en esti­mant qu’il est plus sage de se réfé­rer à un autre éta­lon tem­po­rel qui est la durée de notre grand cycle, le Manvantara, qui a com­men­cé il y a 64 800 ans.
Les ana­lyses et décou­vertes des his­to­riens, des archéo­logues et autres anthro­po­logues pro­fanes n’ont qu’une cré­di­bi­li­té limi­tée du fait que leur démarche est fon­da­men­ta­le­ment faus­sée, et va même à l’inverse de la réa­li­té ; elle se base sur les décou­vertes tech­niques qui se sont suc­cé­dé en ava­lanche à la fin du XIXe siècle en même temps qu’est appa­rue la théo­rie évo­lu­tion­niste de Darwin sur l’origine simiesque de l’Homme. Ces pseu­do-scien­ti­fiques se sont alors conver­tis à la reli­gion scien­tiste du Progrès qui a rem­pla­cé le chris­tia­nisme à bout de souffle, fon­dant leurs théo­ries sur une évo­lu­tion qui va du pire au meilleur alors que l’on constate exac­te­ment le contraire lorsqu’on observe les lois natu­relles et que le cycle qui s’achève pro­cède, comme tout ce qui existe sur Terre, d’un dérou­le­ment invo­lu­tif du temps et de la grande Histoire cyclique qui va du meilleur au pire, de la spi­ri­tua­li­té à la maté­ria­li­té, de la connais­sance à l’ignorance, du Bien au Mal, de l’ Âge d’or à l’Âge de fer avant de recom­men­cer un nou­veau cycle.
L’instruction qui a été don­née à nos enfants pro­cède de cette invo­lu­tion, puisqu’on peut dater l’organisation de l’école telle qu’on la connaît aujourd’hui à cette fin du XIXe siècle avec les lois ins­tau­rées par Jules Ferry ; même si la qua­li­té de l’instruction fran­çaise, hors cette ano­ma­lie fon­da­men­tale, s’est main­te­nue à un très bon niveau – inévi­ta­ble­ment super­fi­ciel cepen­dant – jusqu’au milieu du XXe siècle, exac­te­ment jusqu’à mai 68. Elle n’a ces­sé de se dégra­der depuis au fil de l’inaction des ministres de l’Éducation natio­nale qui se sont suc­cé­dé jusqu’à nos jours dans l’unique but de la faire disparaître.

Marion Maréchal - Héritage grec romain chrétien
Et c’est ain­si que Marion Maréchal, fon­da­trice d’une grande école, a pu décla­rer le 8 octobre 2024 sur Cnews : « Nous affir­mons notre droit à la conti­nui­té his­to­rique et notre atta­che­ment à notre héri­tage grec, romain et chré­tien », oubliant que notre héri­tage direct n’est ni grec, ni romain, ni chré­tien, mais venant de nos ancêtres les Gaulois, la plus grande com­po­sante du peuple celte éta­blie sur un ter­ri­toire supé­rieur à celui de la France actuelle, dont cette jeune femme d’origine bre­tonne ne devrait pas avoir à rougir.

Gallia Celtica

Car, même si nos ancêtres n’ont pas construit d’aqueduc ni d’amphithéâtre, même s’ils n’ont pas lais­sé des ouvrages d’histoire ou des recueils de poèmes, les Romains ont pu les enva­hir grâce aux routes construites par les Gaulois, et ont pu apprendre à culti­ver la terre avec la char­rue inven­tée par nos ancêtres ; si les Gaulois n’ont pas lais­sé d’œuvre écrite, ce n’est pas parce qu’ils ne connais­saient pas l’écriture, c’est parce qu’ils pri­vi­lé­giaient l’enseignement par l’effort de la mémoire, et aus­si, parce qu’ils étaient de grands ora­teurs. De même, s’ils n’ont pas lais­sé d’œuvre archi­tec­tu­rale ni de sta­tue, c’est parce qu’ils confec­tion­naient leurs mai­sons et leurs icônes en bois. La sagesse et la spi­ri­tua­li­té de nos druides était uni­ver­sel­le­ment res­pec­tée et leurs connais­sances saluées jusqu’en Inde ; Pythagore y a pui­sé l’essentiel de son ensei­gne­ment. Mais le pays de Descartes, ce phi­lo­sophe qui assi­mi­lait les ani­maux à des machines (ça n’était déjà pas de très bon augure !), a tou­jours pré­fé­ré le ratio­na­lisme grec et la force romaine comme fon­de­ments de sa socié­té.
En fait, les Français ont tou­jours pri­vi­lé­gié ce qui vient d’ailleurs, même si ces apports exté­rieurs consti­tuent cer­taines com­po­santes de l’esprit de notre peuple, je pense, là, sur­tout au chris­tia­nisme ‑heu­reu­se­ment- euro­péa­ni­sé. Et, pour être un peu plus cri­tique, je pense aus­si à la pro­pen­sion peu louable, qui nous vient éga­le­ment des Gaulois, à la col­la­bo­ra­tion, oui, comme celle que les Français ont pra­ti­quée sans ver­gogne pen­dant la deuxième guerre mon­diale, pen­chant peu glo­rieux qui a vu le jour avec les « Gallo-Romains », c’est-à-dire la sou­mis­sion à l’envahisseur, qui consiste à pra­ti­quer une xéno­phi­lie tein­tée d’admiration béate pour l’étranger qui ne vient pas tou­jours avec les meilleures inten­tions du monde ; dans ce contexte, l’islam qui, jus­te­ment, signi­fie « sou­mis­sion », a de belles pers­pec­tives d’avenir en France.
Ceci pour mon­trer que même une Marion Maréchal, a prio­ri oppo­sée à l’invasion étran­gère, a été suf­fi­sam­ment ber­née par l’éducation reçue jusqu’à en oublier ce qui consti­tue – qu’on le veuille ou non – la colonne ver­té­brale du peuple fran­çais, sa marque de fabrique : son ori­gine gauloise.

Gilets jaunes Gaulois En Marche
Cette ori­gine n’est pour­tant pas si loin­taine et s’inscrit même dans le laps de temps auquel ont accès les his­to­riens pro­fanes puisque les pre­miers Celtes font leur appa­ri­tion en Gaule au VIe siècle avant notre ère. Pourquoi cet ostra­cisme ? Pour nous cou­per de nos véri­tables racines.
Cette anec­dote sur Marion Maréchal n’est que l’un des aspects néga­tifs de l’action, ou de la pen­sée, de cette jeune femme qui a déjà ven­du son âme au diable puisqu’elle est, comme sa tante, récep­tive à toutes les consignes édic­tées par l’Ordre mon­dial (voir nos articles : Voyage en Absurdie, les dépu­tés euro­péens votent pour la guerre contre la Russie(1) et aus­si : Traditionalistes contre glo­ba­listes : le grand cham­bar­de­ment pla­né­taire(2))
Il est vrai­sem­blable que le pro­chain but de cette ambi­tieuse poli­ti­cienne sera de rem­pla­cer Marine Le Pen dans ses mêmes fonc­tions et de conti­nuer son œuvre de détour­ne­ment du vote de plus de 10 mil­lions de Français qui croient encore naï­ve­ment que l’une comme l’autre vont accé­der au Pouvoir afin d’exaucer leurs vœux. Elles ont bien d’autres chats à fouet­ter (ou à cares­ser).
On se ren­dra compte que, par ce biais, ce ne sont pas seule­ment les Gaulois qui seront pas­sés à la trappe mais leurs des­cen­dants lobo­to­mi­sés de l’après-2020, à savoir les Français eux-mêmes.

Cette pré­sen­ta­tion nous per­met éga­le­ment de mon­trer que Macron n’a pas grand mérite à reven­di­quer la des­truc­tion de la France, dans son corps et dans son esprit : le gros du tra­vail a été fait bien avant son arri­vée au Pouvoir ; il n’a eu qu’à pous­ser ce qui allait tom­ber. Il est une sorte d’exécutant des basses œuvres, en clair, on appelle ça un bourreau.

Le règne du démon

Douze titan - Mythologie grecque Satan

J’ai sou­vent démon­tré que Titan et Satan ont la même ori­gine séman­tique et même fonc­tion­nelle, les deux faces d’une même médaille, tous les deux rêvant de rem­pla­cer Dieu sur Terre, le pre­mier tra­vaillant dans le cadre de la socié­té tra­di­tion­nelle afin de la cor­rompre dans le déchaî­ne­ment tech­no­lo­gique et robo­tique qui est l’apanage de la maté­ria­li­té, du « pro­grès », et le second, créa­ture malé­fique issue des reli­gions du Livre, atten­dant l’heure de se mani­fes­ter au grand jour et de se pro­cla­mer roi de ce monde, en tout cas roi du monde cau­che­mar­desque pour les humains qui se met en place.
Satan a déjà com­men­cé à acti­ver ses réseaux d’adeptes de par le monde ; les céré­mo­nies ouvrant et fer­mant les J.O. sont là pour le prou­ver ain­si que les divers spec­tacles offerts par les sal­tim­banques sata­nistes qui ras­semblent, cha­cun, des dizaines de mil­liers de fans (fana­tiques). Actuellement, ce sont les scan­dales à conno­ta­tion pédo­phile, impli­quant cer­tains membres de « l’élite », qui sont révé­lés de plus en plus nom­breux comme l’éclosion de fleurs véné­neuses qui sur­gissent brus­que­ment de la pour­ri­ture des pro­fon­deurs(3).
C’est l’action de ces frères jumeaux, Satan-Titan, et celle de leurs sup­pôts au tra­vers de diverses sectes pen­dant de nom­breux siècles qui a pro­duit cette dégé­né­res­cence, voire cette dis­pa­ri­tion à court terme, dont nous sommes vic­times.
Ce qui se passe réel­le­ment, en ce moment même, est hors de por­tée de com­pré­hen­sion de nos conci­toyens pate­lins.
Il me faut encore recou­rir à l’aide de nos ancêtres les Gaulois qui pen­saient qu’il exis­tait trois mondes : celui d’en bas, celui d’en haut et le leur, celui qu’ils co-nais­saient et dont ils s’appropriaient le sol pour l’enrichir de leurs labours et de leurs mois­sons : la sur­face de la Terre.
Celui d’en bas est le royaume de Satan, tapi jusqu’à pré­sent dans les pro­fon­deurs de la pla­nète, secon­dé d’une manière plus voyante par son com­père Titan qui ne cesse de rava­ger, par ses construc­tions et implan­ta­tions arti­fi­cielles tapa­geuses et pol­luantes, la terre de nos ancêtres qui étaient essen­tiel­le­ment des arti­sans et des pay­sans jusqu’à une période encore récente.
Il y eut un tour­nant déci­sif lorsque le diable est sor­ti de sa boîte en 2020, accom­pa­gné de sa cohorte de zombies.

Charles Baudelaire- diable - portrait Fabrizio Cassetta
J’ai dit et répé­té maintes fois que de l’inférieur ne peut naître le supé­rieur, que le monde spi­ri­tuel est supé­rieur au monde maté­riel, que le grand pri­vi­lège du monde d’en haut, le monde spi­ri­tuel, est d’avoir la capa­ci­té de des­cendre s’il en est besoin alors qu’il est stric­te­ment impos­sible au monde d’en bas, le monde maté­riel, de mon­ter sans auto­ri­sa­tion du monde spi­ri­tuel ; c’est pour cette rai­son qu’il est uto­pique pour les tita­no-sata­nistes de pen­ser gagner la guerre des deux mondes qu’ils ont bien impru­dem­ment déclen­chée.
C’est vrai qu’ils auront quand même un avan­tage : la guerre, du fait de l’impossibilité du monde d’en bas de mon­ter, se fera sur le ter­rain qui est le leur, qu’ils par­tagent avec l’Humanité dont ils ne rêvent que de se débarrasser.

Diable ! Le moment est arri­vé où je viens de perdre encore 90 % des 10 % de lec­teurs qu’il me res­tait à convaincre. Nous en sommes donc désor­mais à 1 % de lec­teurs capables de nous suivre. C’est ample­ment suf­fi­sant pour continuer.

Une nouvelle génération d’éveilleurs

Le monde des étoiles appar­tient au monde d’en haut. C’est une lapa­lis­sade.
Nos ancêtres ont obser­vé le ciel pen­dant des mil­lé­naires (ils ne se conten­taient pas de gri­bouiller au fond de leurs cavernes) ; leurs connais­sances en astro­no­mie étaient même quel­que­fois supé­rieures à celles de nos savants contem­po­rains, et ils dis­po­saient de bien d’autres pou­voirs inac­ces­sibles aux petits hommes d’aujourd’hui obli­gés d’inventer des pro­thèses, comme tout ce qui a trait au domaine de la tech­no­lo­gie, pour rem­pla­cer ces pou­voirs per­dus.
Même l’intelligence devient arti­fi­cielle ; ces petits hommes en sont fiers(4), qui consi­dèrent cette I.A. comme l’aboutissement de leurs recherches et leur ultime espoir de pou­voir trans­for­mer les hommes en robots.
L’I.A. ne pour­ra pour­tant jamais rem­pla­cer cette petite flamme qui brille en chaque être humain depuis la nuit des temps et qui le relie, comme un héri­tage pré­cieux et per­ma­nent, aux ori­gines de la vie, aux ori­gines de l’Homme, aux ori­gines du monde, mais aus­si aux ori­gines de lui-même, cette petite flamme trans­mise, concrè­te­ment et sym­bo­li­que­ment, de géné­ra­tion en géné­ra­tion pen­dant plus d’un mil­lier d’années par les ves­tales romaines, qu’ont évo­quée quelques grands pen­seurs, dans des registres bien dif­fé­rents, comme Jean Giono, ou René Guénon(5).

Une amie m’a conseillé de regar­der les vidéos d’un jeune astro­logue qui reprend cette idée dans une vidéo qu’il inti­tule : Message pour la Résistance de 2050 :

YouTube requiert une authen­ti­fi­ca­tion pour accé­der à cette vidéo

François Barthomeuf assi­mile cette petite flamme à ce qui consti­tue la par­tie immor­telle de l’être humain, l’âme, à tra­vers la suc­ces­sion des vies pas­sées et à venir, sans pour autant pro­non­cer le mot de « réin­car­na­tion », peut-être pour ne pas effa­rou­cher ses audi­teurs. Il rejoint nos pro­pos sur le sujet en pré­di­sant que cette petite flamme sera la seule issue de secours contre les pro­jets funestes que nous a concoc­té l’Ordre mon­dial.
C’est encore dans cette vidéo qu’il explique que la séquence « vac­cin », ou plu­tôt « pseu­do-vac­cin », de 2020 était sur­tout des­ti­née à inau­gu­rer le cycle d’intrusion du pro­jet tota­li­ta­riste dans ce que l’être humain a de plus intime : l’intérieur de son corps et il démontre de façon magis­trale que l’Intelligence arti­fi­cielle n’aboutira qu’à nier le sta­tut même de l’être humain qui, pas­sant par l’hybridation, sera pro­gres­si­ve­ment trans­for­mé en robot(6).
Le titre de cette vidéo sug­gère que la par­tie de l’espèce humaine, qui ne s’est pas sou­mise aux injonc­tions du Système, fini­ra par se révol­ter et cas­ser le pro­ces­sus de robo­ti­sa­tion dans les années 2050. Il nous paraît que cette échéance est bien loin­taine et que l’auteur de cette vidéo ne tient pas compte de l’accélération qui se pro­duit en fin de cycle, si tant est que son ana­lyse astro­lo­gique intègre le prin­cipe même d’un temps cyclique, une notion natu­relle issue de l’observation des cycles des végé­taux, des ani­maux, des sai­sons et des astres qui était com­mune à toutes les anciennes civi­li­sa­tions tra­di­tion­nelles dont se réclament les pri­mor­dia­listes, avant que cette notion ne soit aban­don­née pour celle, toute arti­fi­cielle, d’un temps linéaire (un début-une fin) avec l’arrivée des reli­gions du Livre.
Cet astro­logue nou­velle géné­ra­tion anime un site consa­cré à l’astrologie(7) où il pro­pose notam­ment des cycles de for­ma­tion à cette dis­ci­pline qui consti­tue l’une des plus anciennes sciences sacrées (avec l’astronomie ou l’alchimie, entre autres).
Les Chaldéens méso­po­ta­miens sont les plus anciens sages connus ayant exer­cé cette dis­ci­pline et l’ayant trans­mise de par le monde.
Diodore de Sicile écrit ceci, à leur pro­pos, dans son ouvrage Bibliothèque his­to­rique : « Les Chaldéens enseignent que le monde est éter­nel de par sa nature, qu’il n’a jamais eu de com­men­ce­ment et qu’il n’au­ra pas de fin. Selon leur phi­lo­so­phie, l’ordre et l’ar­ran­ge­ment de la matière sont dus à une pro­vi­dence divine ; rien de ce qui s’ob­serve au ciel n’est l’ef­fet du hasard ; tout s’ac­com­plit par la volon­té immuable et sou­ve­raine des dieux. Ayant obser­vé les astres depuis les temps les plus recu­lés, ils en connaissent exac­te­ment le cours et l’in­fluence sur les hommes, et pré­disent à tout le monde l’a­ve­nir. »
Lorsqu’on s’aventure sur Wikipedia, désor­mais tota­le­ment sous la tutelle du Système, on s’aperçoit que l’article consa­cré à l’astrologie a été para­si­té par ce qu’on appelle les offi­cines de « véri­fi­ca­tion », en fait, la nou­velle Inquisition qui frappe d’excommunion (ou d’excommunication) toute idée ou pro­pos qui ne s’insère pas dans le poli­ti­que­ment cor­rect éta­bli par l’Ordre mon­dial et nos nou­veaux maîtres tita­no-sata­nistes. Mais leur inter­ven­tion est tel­le­ment cari­ca­tu­rale qu’elle enlève toute cré­di­bi­li­té à leurs pro­pos, jugez-en vous-mêmes : « L’astrologie est consi­dé­rée comme une pseu­dos­cience rele­vant du char­la­ta­nisme, une croyance indû­ment pré­sen­tée comme scien­ti­fique, ou comme une super­sti­tion. L’astrologie se place, par sa méthode même, en dehors du domaine ration­nel ou scien­ti­fique. Ses pré­ten­dues capa­ci­tés pré­dic­tives ont été réfu­tées par diverses études scien­ti­fiques. »
En quatre lignes, tous les mots-clés propres à effrayer le « pro­gres­siste » moyen y sont : pseu­dos­cience, char­la­ta­nisme, croyance, super­sti­tion.
Nous pou­vons en déduire que le Système sait par­fai­te­ment où sont ses enne­mis. Cela nous conforte dans l’idée que nous sommes sur la bonne voie.
François Barthomeuf consacre trois autres vidéos au thème astral d’Emmanuel Macron qui nous apportent de sur­pre­nantes révé­la­tions :
• Épisode 1 : Pluton et le thème d’Emmanuel Macron(8)
Macron est arri­vé au pou­voir en se cachant sous un masque, ce qui est l’une des carac­té­ris­tiques de ceux qui sont mar­qués par la pla­nète Pluton. Mais François Barthomeuf avait détec­té, dès son acces­sion à la Présidence, sa véri­table per­son­na­li­té qui est celle d’un dic­ta­teur en poten­tia­li­té.
Le pou­voir va mater féro­ce­ment les pre­mières révoltes (Gilets jaunes, pay­sans).
C’est le règne du men­songe et de la dis­si­mu­la­tion qui attein­dra son apo­gée avec les pre­mières mesures vexa­toires envers le peuple sous cou­vert de pseu­do-pan­dé­mie en 2020 ; les macro­nistes en pro­fitent pour déman­te­ler les struc­tures finan­cières et éco­no­miques de la France et vendre à l’encan nos pépites indus­trielles.
• Épisode 2 : Le Monarc(9)
L’anagramme de Macron dévoile sa véri­table ambi­tion : Monarc ; Macron se dénom­me­ra lui-même Jupiter, le roi des dieux, ce qui est conforme à sa méga­lo­ma­nie.
Dans cette phase, où les citoyens com­mencent à mon­trer les dents, Macron va s’ingénier à frag­men­ter les reven­di­ca­tions et à dres­ser les dif­fé­rentes frac­tions sociales les unes contre les autres pour gagner du temps avant que le peuple, dans son ensemble, ne s’aperçoive qu’il a affaire à un pou­voir tota­li­taire et que les élites ne sont pas du tout bien­veillantes envers lui mais, bien au contraire, qu’elles ne visent qu’à le détruire.
• Épisode 3 : Révolution de 1789 et Révolution de 2026(10) :
François Barthomeuf évoque une confi­gu­ra­tion excep­tion­nelle en mars-avril 2026 qui annonce des bou­le­ver­se­ments déci­sifs en France : c’est Pluton dans le signe du Verseau oppo­sé à Jupiter dans le signe du Lion ; quand on remonte le temps, la seule conjonc­tion iden­tique se situe en… juillet 1789 !
François Barthomeuf évoque aus­si à la même époque l’éventualité d’un pro­cès de Macron, suite à ce qui paraît s’annoncer comme une Révolution, mais il nous fait remar­quer qu’il faut aus­si, pour que cette Révolution réus­sisse, qu’elle soit menée, d’en haut, par un per­son­nage qui dis­po­se­rait « d’une légi­ti­mi­té morale, par rap­port à la France, un nom qui résonne à l’oreille des Français, qui dépasse les cli­vages des par­tis, qui réunisse toute la popu­la­tion fran­çaise frag­men­tée au tra­vers d’une vision phi­lo­so­phique (spi­ri­tuelle ?) pour la France. »
J’ai pen­sé, en lisant ce por­trait, à Pierre de Gaulle, petit-fils du Général, per­son­nage de carac­tère mais dis­cret, aux idées pleines de bon sens et de sagesse, suf­fi­sam­ment jeune (61 ans) pour exer­cer de hautes fonc­tions. Encore une fois, c’est en lisant sa bio­gra­phie édi­tée par Wikipedia que je me ral­lie, par contre­coup, à l’éventualité de sa can­di­da­ture.
En effet, les rédac­teurs de Wikipedia, ano­nymes, bien sûr, ont mon­tré, en rédi­geant cette bio­gra­phie, leurs aspects les plus répu­gnants, car elle ne peut pas être plus infâme pour cet homme qui, me semble-t-il, mérite le res­pect. Le Système fera tout pour qu’il ne puisse pas consti­tuer un recours le moment venu.
Je me suis aus­si inté­res­sé à François Barthomeuf parce qu’il pour­rait repré­sen­ter l’un de ces nou­veaux éveilleurs de conscience que nous appe­lons de nos vœux. L’un de ceux que Julius Evola appe­lait les « êtres dif­fé­ren­ciés », sus­cep­tibles de pré­pa­rer le nou­veau cycle qui s’annonce.

Préparer les germes du cycle futur

Pour expli­quer pour­quoi j’ai accep­té, sans trop de cha­grin, que cer­tains de mes lec­teurs ne me suivent plus à tel moment de cet article, je vou­drais rap­pe­ler que René Guénon disait, dans Le Règne de la quan­ti­té que les évé­ne­ments qui vont inévi­ta­ble­ment adve­nir « ne pour­ront pas être com­pris par la géné­ra­li­té, mais seule­ment par le petit nombre de ceux qui seront des­ti­nés à pré­pa­rer, dans une mesure ou dans une autre, les germes du cycle futur. Il est à peine besoin de dire que, dans tout ce que nous expo­sons, c’est à ces der­niers que nous avons tou­jours enten­du nous adres­ser exclu­si­ve­ment, sans nous pré­oc­cu­per de l’inévitable incom­pré­hen­sion des autres ».
En outre le pré­sent article est consti­tué de plu­sieurs strates ; son titre évoque la guerre que se livrent depuis bien long­temps les forces d’en haut et les forces d’en bas, pour sim­pli­fier, celles du Bien et celles du Mal.

Jésus Diable
Les pro­pos de François Barthomeuf évoquent plu­tôt celles du milieu, qui sont à la sur­face de la Terre qui est le domaine des hommes et que veulent conqué­rir celles du bas, en éli­mi­nant tout sim­ple­ment ses habi­tants ou en les trans­for­mant en esclaves ou en robots.
Les cyclo­logues savent qu’une fin de cycle voit tou­jours le déchaî­ne­ment à la fois des forces sur­na­tu­relles, celles des hommes et celles de la nature.Les fins de cycle décrites par Mircéa Eliade sont sou­vent liées à des déluges ou à des catas­trophes natu­relles, mais bien sou­vent aus­si cou­plées à des guerres entre les peuples ou entre des forces invi­sibles, selon les tra­di­tions du monde. Il semble bien que, pour la pre­mière fois, il pour­rait s’agir aus­si – en plus – d’une guerre entre les élites au pou­voir et leurs propres peuples à un niveau pla­né­taire, ces élites ayant fait alliance avec les forces d’en bas, que nous appe­lons titano-satanistes.

François Barthomeuf situe en 2026 une pos­sible révo­lu­tion en France ; un auteur pri­mor­dia­liste chré­tien, Jean Phaure (1928−2002)(11), éga­le­ment astro­logue, situe la fin de notre cycle en 2030(12), de même que Nicolas de Cuse (1401−1464). Ces deux dates sont fort proches ; s’agirait-il du même évé­ne­ment, celui de 2026 à l’échelon local, ampli­fié quatre ans plus tard à l’échelon planétaire ?

L’avenir nous le dira.

Pierre-Émile Blairon

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Pierre-Émile Blairon

Lire dans ces colonnes mon autre article : Voyage en Absurdie : les dépu­tés euro­péens votent pour la guerre contre la Russie du 23 sep­tembre 2024

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Lire dans ces colonnes mon autre article : Traditionalistes contre glo­ba­listes : le grand cham­bar­de­ment pla­né­taire du 22 février 2024

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Comme, par exemple, celui incri­mi­nant le rap­peur mil­liar­daire dénom­mé P. Diddy, qui impli­que­rait notam­ment le prince Harry, soup­çon dont nous avions déjà sou­le­vé la per­ti­nence dans notre article daté du mois d’avril : L’étrange famille royale d’Angleterre : sous le soleil de Satan ? du 7 avril 2024

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Dr Laurent Alexandre : » On va chan­ger de dieu » [source]

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Pierre-Émile Blairon, L’Iceberg, p.150 et sui­vantes, 2021.
Voir aus­si : Pierre-Émile Blairon, La Tradition pri­mor­diale, la quête de nos ori­gines, la pres­cience du futur, p. 50, 2022 : « J’ai dit que les trans­hu­ma­nistes qui cherchent à détruire le dieu qui est en nous n’y arri­ve­ront jamais, car il est repré­sen­té par un tout petit organe, une petite flamme inté­rieure qui ne s’éteint jamais, que leurs moyens tech­niques sont inca­pables de loca­li­ser ; ce petit organe est relié par un fil indes­truc­tible à l’univers, un peu comme le fil d’argent qui nous relie à notre corps lorsque nous en sor­tons, selon les per­sonnes qui ont expé­ri­men­té cet EMC (état modi­fié de conscience) »

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Philippe Guillemant, l’un des plus émi­nents scien­ti­fiques contem­po­rain, est très cré­dible lors­qu’il s’ex­prime sur l’IA ou le transhumanisme :

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AstroScience : ici

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Jean Phaure - Cycle humanité adamique Jean Phaure - Cycle humanité adamique
Cliquez sur l’i­mage pour l’agrandir
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Lire mon autre article dans ces colonnes : Les quatre paliers de l’Apocalypse (deuxième par­tie) du 4 sep­tembre 2024

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Pierre-Émile Blairon est l’au­teur d’un cer­tain nombre de livres liés à l’Histoire, notam­ment de la Provence, de Nostradamus à Giono et à la fin du Cycle :

Pierre-Émile Blairon - Empire mensonge

Pierre-Émile Blairon - Iceberg

Guillaume Faye

Pierre-Émile Blairon - Chronique fin cycle - Enfers parodisiaques

Pierre-Émile Blairon - La roue et le sablier - Bagages pour franchir le gué

Pierre-Émile Blairon - Le messager des dieux

Pierre-Émile Blairon - Livre Tradition primordiale

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Pierre-Émile Blairon

4 Commentaires 

  1. Très pro­fon­dé­ment ins­truc­tif et rejoi­gnant les visions récentes ou non de nombre d’êtres humains ayant accé­dé au monde d’en haut ou en ayant eu des révé­la­tions au tra­vers d’ap­pa­ri­tions et visions bien réelles et pas du tout vir­tuelles comme tout ce que notre monde en décom­po­si­tion nous propose.

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  2. Merci, mer­ci, exac­te­ment ce que j’at­ten­dais. J’ai 78 ans et comme la plu­part des per­sonnes à cet âge là, j’ai vu beau­coup de choses. Entièrement d’ac­cord avec vous. Chose étrange, j’ai trou­vé, par hasard, un livre pas­sion­nant, que je n’ai pas encore ter­mi­né…
    Un archéo­logue, cher­cheur au CNRS, spé­cia­liste de l’homme de Néanderthal, Ludovic Slimak, a écrit « Sapiens nu »… mais avant il a écrit « Néanderthal nu ». Je sens que je vais com­mer­cer par celui-là.
    Bien à vous.

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  3. Superbe article !

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