
Mise en scène macabre de Boutcha : nous avions bien raison
Dès son lancement en avril 2022, nous dénoncions le massacre de Boutcha comme une sordide manipulation du camp occidental(1).
Toute la presse subventionnée s’est jetée sur cette manipulation pour diaboliser la Russie, qui — de son côté — avait immédiatement demandé une enquête. Un an et demi plus tard aucune enquête n’a été lancée, aucun nom de victimes n’a été publié.
Moscou dénonce donc à présent officiellement cette ignominie par la voie diplomatique. Pour Maria Zakharova, porte-parole du ministère des Affaires étrangères de Russie, l’absence de preuves apportées par Kiev « indique une mise en scène ». Elle y voit une analogie avec le massacre de Nemmersdorf(2) dont l’Armée rouge avait été accusée en 1944 par les nazis.
La presse subventionnée qui titrait sur le massacre de Boutcha, ne publie aucun démenti.
Calomniez, calomniez, il en restera toujours quelque chose (Francis Bacon)(3).
Toute l’horreur otano-nazie dans cet acte qui devrait déclencher opprobre et isolation internationales…… en temps normal.