La fraude électorale fonctionnera-t-elle aussi bien au deuxième tour ?
Le 4 avril, nous vous sensibilisions sur la fraude électorale qui entache l’élection d’Emmanuel Macron en 2017. Vous me direz : « S’il n’y avait que ça ! » puisque Macron fut élu à la suite d’un véritable putsch médiatique (lire Un putsch sans soldats du 9 mai 2021). Mais penchons nous sur la fraude électorale.
Le site Vivre sainement nous montre très bien comment les tricheurs s’y prennent pour placer Macron en tête du résultat des urnes :
L’outil principal de la fraude s’appuie sur les machines électroniques
Rappelons ici que :
• Les électeurs n’ont jamais demandé ces machines : elles sont imposées par nos dirigeants qui y trouvent leur intérêt, pas les électeurs !
• Il est démontré qu’elles peuvent être programmées, déprogrammées, reprogrammées.
• Partout où ces machines sont en usage, Macron arrive très largement en tête, parfois de manière très étrange : ces machines fournissent donc des voix (ponctionnées sur d’autres candidats) qui viennent araser les résultats des bureaux où le dépouillement est manuel en présence d’assesseurs.
• Les sondages d’opinion sont une des composantes de cette fraude : ils ne servent qu’à préparer l’opinion aux résultats que nos dirigeants ont concoctés pour nous. La preuve : le Pouvoir fait vite retirer les sondages qui ne sont pas « conformes » au plan.
C’est vrai @RTLFrance ?
— Aude Lancelin (@alancelin) March 4, 2022
Franchement ce serait grave d’apprendre que ce sondage défavorable au grand leader et général en chef des armées Micron 1er a été supprimé pic.twitter.com/Rcxt1bc5G5
Autre indice qui vient démontrer la manipulation des sondages (sachant que les instituts de sondage sont la propriété des mêmes oligarques qui possèdent déjà les médias) : le maire de la commune de Pia, dans les Pyrénées Orientales, avait décidé d’organiser une consultation citoyenne afin de désigner le candidat à la présidentielle qui aura son parrainage [source].
Résultats :
• Éric Zemmour : 36,55%
• Marine Le Pen : 28,70%
• Emmanuel Macron : 8,90%
• Jean-Luc Mélenchon : 7,70%
• Valérie Pécresse : 7,20%.
Nous ne prétendons pas que cette consultation a valeur nationale. Nous démontrons que dès lors que les consultations se font loyalement, Macron est très largement distancé.
La pression médiatico-politique est telle en France que ce sujet n’est pas abordé, y compris par les candidats lésés eux-mêmes(1). C’est donc dans la presse étrangère que nous trouvons les meilleures analyses sur la fraude électorale en France. Citons le site R for Resistance : How do they rig elections ? The French case (Comment ils truquent les élections ? Le cas français). Il faut dire que les Américains ont une très grande expérience en la matière (lire Fraude électorale : une institution aux USA du 7 novembre 2020). R for Resistance propose une étude approfondie sur le sujet :
On peut y lire (traduction par nos soins) :
1- Le ministère de l’Intérieur est bien sûr sous le contrôle total de l’appareil de Macron. Ils donnent les chiffres qu’ils veulent.
2- Aucun organisme indépendant ne vérifie ces chiffres lorsqu’ils sont au ministère. Il n’y a aucun moyen de confirmer leur véracité.
3- Il n’y a pas non plus de moyen de savoir s’il y a eu des irrégularités lors de la transmission électronique ou du vote :
• a. des machines à voter dans 77 communes (plus de 1,3 million d’électeurs selon France Élections sur leur site Internet), et
• b. entre 1,7 et 2,5 millions d’électeurs expatriés.
4– Au total 3 à 3,8 millions de votes potentiels transitent par des plateformes numériques facilement programmables ou des « logiciels de vote »… Un énorme réservoir de voix pour un candidat peu éthique dont l’impopularité atteint 84 % de la population totale.
5- Il convient également de rappeler que les Pays-Bas et l’Irlande ont disqualifié le système néerlandais utilisé par France Élections (NEDAP) car il était « dangereux et peu fiable ».
6- Ajouté à cela, l’utilisation d’un énième système tordu, le programme SCYTL impliqué dans le trucage des élections américaines, et également utilisé par le régime de Macron pour transmettre les 1,7 à 2,5 millions de votes d’expatriés, et nous avons une image claire de ce qui s’est passé dans cette simulation d’élection.
La différence entre Emmanuel Macron et Marine Lepen est de 1 649 529 voix. La différence entre Emmanuel Macron et le troisième candidat Jean-Luc Mélenchon est de 2 070 411 voix. Une différence assez faible quand on sait que 3 à 3,8 millions de votes ont été traités via des plateformes numériques non sécurisées et non fiables (NEDAP), dont une impliquée dans des élections récemment truquées (SCYTL). Cela aurait fourni à Macron une large réserve de voix à voler (et c’est sans compter la falsification opérée au ministère de l’Intérieur qui a le contrôle exclusif des résultats).
Votes nuls : 239 341, soit 0,67%. Nous notons le faible nombre de votes blancs et nuls ce qui corrobore le vol de voix non seulement aux petits candidats mais aussi aux votes blancs et nuls. Considérant que voler la voix même d’un petit candidat pourrait potentiellement être exposé, quelles sont les chances que quelqu’un vérifie le nombre réel de votes blancs et nuls ? Il n’y a aucun moyen de le savoir, surtout lorsque les résultats finaux sont entre les mains exclusives d’un ministère contrôlé par Macron et ses acolytes.
De nombreuses « irrégularités » ont été commises directement dans plusieurs bureaux de vote :
L’une des astuces utilisées cette année a été de faire faire la queue aux électeurs devant les bureaux de vote pendant des heures jusqu’à ce que beaucoup abandonnent. Comment cela a été fait ? Simplement en réduisant de moitié le personnel et nombre d’isoloirs. Exemple à Paris où un bureau de vote avec un grand nombre d’électeurs est passé de 6 à 3 assesseurs et de 6 à 3 isoloirs.
Beaucoup sont simplement partis sans voter. Ne pas voter à cette élection équivaut à donner une voix à Macron et sa clique de fraudeurs.
D’autres irrégularités concernent la manière dont les résultats ont été mal communiqués ou n’ont pas été communiqués. Quelques résultats ont même été rapportés par téléphone sans aucune vérification !
Nous répétons qu’il est surprenant que ces études nous parviennent de la presse étrangère. Même pas de Poutine, mais des États-Unis ! 😃
La fraude au deuxième tour sera plus compliquée à mettre en œuvre puisque le siphonnage des voix ne pourra plus se faire sur les petits candidats. Les machines pourront manipuler les chiffres mais jusqu’à certaines limites. Si l’écart des voix entre Marine Le Pen et Macron est trop important, les machines ne pourront pas le gommer. Rappelons que c’est ainsi que Trump fut élu en 2017 car l’écart des voix entre Hillary Clinton et Donald Trump était trop grand pour qu’il fût arasé par les tricheries pourtant prévues à cette effet(2).
Peut-on imaginer un tel scénario en France le 24 avril 2022 ?
Georges Gourdin
(1) Se poser cette question peut nous conduire à nous interroger sur la réelle volonté des candidats d’accéder au Pouvoir et sur une mise en scène bien orchestrée dans laquelle l’opposition factice ne sert que le Système.
(2) Rappelons nous que la victoire de Hillary Clinton fut annoncée en 2017 avant la fin du dépouillement par la presse et par François Hollande, tous surpris par le scrutin qui n’avait pu être contrôlé.
Bonus : citons Christine Deviers-Joncour qui connaît bien les dessous de la République :
« Étonnant élan des machines à voter pour le candidat Macron.
En France, 64 villes sont équipées d’un système de vote électronique et quand on les passe en revue une à une, on s’aperçoit que 41 d’entre elles votent Macron et elles ne font pas semblant, avec régulièrement, de très gros scores, ce qui donne 67,2 % des machines qui votent Macron, très au dessus donc, du score moyen du candidat. Les 21 villes à machines qui ne votent pas Macron, sont quasiment toutes des villes où la population est largement d’origine étrangère, nord-africaine, Stains, Marignane, Arcueil, Orange… où c’est Mélenchon qui rafle la mise et où il aurait été trop visible de tricher. Dans quelques autres, mais peu, on a Le Pen en tête, des fiefs traditionnels du RN, en région PACA.
Cette propension des machines à voter Macron est largement étonnante, sans compter la salade qui peut être réalisée, en prime, une fois tous ces résultats arrivés dans les machines du ministère de l’Intérieur. Le décalage entre le score du candidat dans les villes à machines et les villes sans machine, suffit à jeter le trouble et les précédents de chez Dominion, avec le logiciel Scylt devraient inciter à l’interrogation et à la vérification. »
À quoi bon !
Le premier tour de cette mascarade n’est que la preuve de plus que la France est perdue.
Le vote est INUTILE.
En complément des manœuvres indiquées dans l’article :
→ Les bulletins de certains candidats qui n’étaient pas accessibles dans certains bureaux de vote, dans certaines villes ! (retrouvés dans les poubelles non loin)
→ Le nombre considérable des électeurs radiés d’office (dernière estimation plus de 200 000) !
→ Le petit nombre logiquement suspect des votes blancs et nuls déclaré par les autorités (car non vérifiable puisque non comptabilisé)
→ En miroir le nombre ridicule des abstentions déclaré par rapport à la réalité.
→ Le nombre considérable d’interdiction de vote par suppression de droits civiques de milliers de Gilets Jaunes (plus de 20 000)!
Et la liste est longue.
Tout ceci devrait rapidement aboutir à une annulation pure et simple des résultats et invalidité.
Car on sait déjà tous que cette élection n’est pas légitime.
Une belle esbroufe nous jette un semblant de démocratie dans un débat inutile car les jeux sont faits.
Un seul mot face au fascisme : Résistance !
Je viens de publier un article sur la faillibilité des sondages dans le contexte actuel, due premièrement au fait que les Instituts ne les font que par internet, ce qui élimine 60 % des électeurs.
Voir ouillade.eu
Gérard Lépine, Perpignan
Le sondage RTL que vous affichez date du 4 mars. Un peu vieux vous ne trouvez pas ?
En plus, il donne 16 % d’opinions favorables pour Micron qui totalisera 28 % de voix au premier tour. Cherchez l’erreur !
Conclusion : ce sondage est tout aussi pipé que les autres.
Quand bien même serait-il « aussi pipé que les autres » !
Les sbires de Macron ont invité RTL à l’effacer. Pourquoi donc ?
Peu importe qu’il date du 4 mars, ce qui est grave c’est qu’il ait été supprimé immédiatement car trop proche de la réalité.
Les sondages sont des prophéties auto-réalisatrices, comme on dit.
C’est aussi le principe de l’influence, c’est du marketing. En truquant les sondages, les gens ne sont pas étonnés quant les votes ressemblent aux sondages. Par contre si on annonce que 66 a 84% de Français ne veulent plus de Macron alors le doute s’installe quand soudainement il est en tête au second tour.
Bien sûr le sondage RTL n’était pas le seul à annoncer cette évidence : les Français détestent Macron.
CNews et Sud-Ouest ont fait des sondages et arrivent à la même conclusion.