Cela montre la niaiserie affligeante de notre classe dirigeante

2 mai 2023 | 7 Commentaires 

L’une de nos lec­trices lor­raines, Ariane Wagner, nous envoie cette pho­to du bâti­ment du Conseil dépar­te­men­tal de Meurthe et Moselle à Nancy, accom­pa­gnée de son ana­lyse que nous relayons volontiers :

La pré­si­dente socia­liste du Conseil dépar­te­men­tal de Meurthe et Moselle, et dépu­tée Chaynesse Khirouni, s’i­ma­gine — en tant que femme de gauche « ouverte et tolé­rante » — que tout le monde pense comme elle.

Chaynesse Khirouni se prend pour Qui pour ainsi s’arroger l’opinion des habitants de son département ?

Ayant reçu de ses man­dants dont elle n’est que le pion, l’ordre de pré­pa­rer la France à la guerre de l’OTAN contre la Russie, elle par­ti­cipe ser­vi­le­ment à la pro­pa­gande bel­li­ciste orches­trée dans les offi­cines pari­siennes. Mais NON ! Madame Khirouni, la Meurthe et Moselle ne sou­tient pas le régime put­schiste cor­rom­pu de Kiev et ne veut pas de cette guerre orches­trée par l’OTAN avec la par­ti­ci­pa­tion active d’Angela Merkel et de François Hollande.

Cet abus de Pouvoir est com­plé­té par le dévoie­ment d’un bâti­ment public au pro­fit d’une cam­pagne de pro­pa­gande. À ce compte-là pour­quoi ne pas arbo­rer les dra­peaux de la Palestine ? ou du Yémen ou du Soudan ? Le pré­fet de Meurthe et Moselle est for­cé­ment com­plice de cette outrance sur un bâti­ment public d’envergure.

Cela montre la niaiserie affligeante de notre classe dirigeante

Analysons de plus près ce cali­cot affi­ché osten­si­ble­ment sur ce grand bâti­ment : « La Meurthe et Moselle sou­tient le peuple ukrai­nien ». Mais de quel peuple ukrai­nien s’agit-il ?

A prio­ri il ne s’a­git pas du peuple ukrai­nien qui fut bom­bar­dé, mas­sa­cré, tor­tu­ré(1) pen­dant 8 ans par les milices nazies finan­cées, armées et for­mées par l’OTAN. On ne vous a pas beau­coup enten­du, madame Khirouni, pen­dant ces 8 années qui ont fait 15 000 morts par­mi le peuple… ukrainien !

Il s’a­git donc d’un autre peuple ukrai­nien. S’agit-il des réfu­giés ? Mais quels réfu­giés ? Des plus malins qui louent des vil­las somp­tueuses sur la Côte d’Azur et roulent en limou­sines de luxe ?(2) S’agit-il des réfu­giés déser­teurs ? Mais alors pour­quoi nous bat­trions nous, nous Français, pour un peuple qui aban­donne son pays ?

Il ne s’a­git donc pas des réfu­giés non plus. S’agit-il alors des Ukrainiens nazis ? La ban­de­role serait-elle un appel au sou­tien des forces nazies à l’œuvre en Ukraine ?

Ukronazis

Je ne peux croire un seul ins­tant que la Meurthe et Moselle sou­tienne de quelque manière que ce soit des per­sonnes qui se reven­diquent du nazisme.

Cette ban­de­role sur ce bâti­ment public est une honte et je demande à Nice Provence Info de l’in­té­grer dans son dia­po­ra­ma des mai­ries col­la­bos. Ce site de réin­for­ma­tion fera bien une excep­tion pour notre Conseil départemental.

Dans quelque temps l’OTAN per­dra cette guerre contre la Russie, comme elle perd toutes ses guerres. Madame Khirouni, vous et vos aco­lytes, êtes en retard d’une guerre. Le maire de Nancy a du reste enle­vé sa ban­de­role car il a bien com­pris qu’il allait dans le mur.

Hôtel de Ville Nancy - Drapeau Ukraine

La ban­de­role et les éten­dards ont dis­pa­ru de la façade de l’Hôtel de Ville de Nancy. Le maire, votre ami et com­père Mathieu Klein, a bien com­pris qu’il fai­sait fausse route et a enle­vé cette ban­nière ridi­cule et provocatrice.

Ariane Wagner

7 Commentaires 

  1. Ahhh le « nazisme » réin­ven­té pour la bonne cause. Il s’a­git sur­tout d’une cari­ca­ture comme l” indique le mot « nazisme » rac­cour­ci péjo­ra­tif créé et uti­li­sé par les oppo­sants sociaux-démo­­crates, com­mu­nistes, au natio­­nal-socia­­lisme qui, jus­qu’à la guerre a éle­vé le niveau de vie des citoyens alle­mands d’une façon spec­ta­cu­laire. Ce pour­quoi la grande majo­ri­té des Allemands ont sou­te­nu Hitler, et les bien­faits réci­proques du pacte ger­­ma­­no-sovié­­tique. La rup­ture de ce pacte et la guerre contre l’URSS ont chan­gé la donne. Ce fut le début de la fin du mythique « Reich mil­lé­naire ».
    Qui dit guerre, dit hor­reurs épou­van­tables.
    Cela étant, le néo-nazisme ukrai­nien est une cari­ca­ture ! Une gale­rie d’exal­tés, de psy­cho­pathes, de pseu­do des­cen­dants des Varègues (peuple viking) regrou­pés dans un natio­na­lisme vio­lem­ment anti-russe que le pou­voir pro­fond US uti­lise pour ses basses besognes de domi­na­tion mon­diale, comme il le fait par­tout dans le monde. Si ces « néo-nazis » n’exis­taient pas, il aurait fal­lu les inven­ter. Le pire est de savoir que cer­tains ont pu être recru­tés dans nos « forces de l’ordre » (EuroGender). Le retour de la Gestapo fran­çaise est d’actualité.

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  2. Au fait ! Les citoyens du Donbass, bom­bar­dés depuis 10 ans par les auto­ri­tés de Kiev, font par­tie du peuple ukrai­nien, dans le fond… Il fau­drait deman­der aux conseillers de Meurthe et Moselle, quel peuple ukrai­nien ils sou­tiennent ? Les infor­tu­nés du Donbass ou les riches que je vois rou­ler en grosse ber­line alle­mande dans les rues de la Côte d’Azur ?

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  3. C’est bizarre que les Américains s’a­charnent à conser­ver à tout prix l’OTAN ? Les Russes de toute façon arri­ve­ront à leur fin en Ukraine, tôt ou tard ! Et, on sau­ra enfin ce qu’il se passe là-bas… D’après les dires, il y aurait des expé­riences médi­cales sur des enfants kid­nap­pés, entre autres…

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  4. « Pour la libre expres­sion, vous devriez ren­voyer cette mer­dasse chez elle dans le nord douai­sien ; sur­tout avec une mor­pho­psy­cho­lo­gie de niai­se­rie ara’­bique et par­ti­sane du tout chez les autres mais jamais chez soi. »

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  5. Bravo ! Bien vu et bien dit !
    Nous espé­rons tous que cette hon­teuse ban­de­role sera bien­tôt enle­vée.
    Impudence plu­tôt que naï­ve­té, je crois…

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  6. Avec les Allemands qui rêvent de la ven­geance du pro­jet Barbarossa vieux de 80 ans, de nom­breux Français sont dignes d’être pour la résur­rec­tion de la collaboration.

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  7. Aucun Français ne doit mou­rir pour l’Ukraine Bidoniste… ou Otaniste… ou Vonderleyeniste…
    Défendons nos fron­tières, nos ter­ri­toires (ex : le 93…).

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