Qui peut dire si nous aurons bientôt une guerre nucléaire ?
Faut-il se préparer à la guerre nucléaire ? Beaucoup pensent que oui.
C’est le cas de Gérard Chevrier qui nous alerte régulièrement dans ses messages qu’il publie sur sa chaîne YouTube. Il convient de prendre très au sérieux les propos pondérés et documentés de cet ingénieur, inventeur, ancien chef d’entreprise dans l’industrie, aujourd’hui âgé de 81 ans. Tout le contraire d’un blanc-bec(1) ! Prenez le temps — pour commencer — d’écouter son interview dans le média 4−4−2. Cet entretien dure une heure, et nous vous invitons vivement à dégager une heure de votre temps pour l’écouter en totalité :
Les arguments de Gérard Chevrier sont très solides et le conduisent à avancer que nous avons une probabilité de 80 % que le monde entre dans un conflit nucléaire. Pour autant il s’efforce de nous rassurer en nous expliquant comment faire en cas de déflagration nucléaire. Il ne dit pas : « On va tous mourir ! », mais plutôt « Pas d’panique !«
Les événements récents confortent sa pré-vision : avertissement de Vladimir Poutine sur l’usage potentiel de l’arme nucléaire en cas d’attaque du territoire russe par des missiles à longue portée. Nonobstant ce grave avertissement, l’OTAN a lancé plusieurs missiles, américains et britanniques, sur le territoire russe. Les personnes qui ont pris cet décision ont par conséquent admis que la Russie puisse répliquer avec une arme nucléaire.
De fait deux jours à peine après ce bombardement, la Russie répondait par le lancement de sa première bombe hypersonique sur le complexe militaro-industriel de Dnipro (région de Dnipropetrovsk).
Croyez vous que cela calme les ardeurs des bellicistes occidentaux ? Pas du tout !
Notre chef de guerre national — à son tour — autorise l’Ukraine à lancer sur la Russie les missiles Scalp français afin de ne pas laisser le monopole des bombardements aux Atacms américains et aux Storm Shadow anglais.
Des militaires français opèreront donc en Ukraine pour lancer nos missiles sur le territoire russe et feront de facto entrer la France en guerre contre la Russie.
Il apparaît clairement que des groupes très puissants sont à la manœuvre pour :
- Générer ce conflit en bafouant les accords de Minsk de 2014.
- Dès lors faire de l’Ukraine le détonateur d’un conflit avec la Russie.
- Financer l’effort de guerre ukrainien.
- Fermer les yeux sur les bombardements du Donbass par le régime de Kiev.
- Fermer les yeux sur le rôle des milices nazies dans d’innombrables actes de la pire barbarie.
- Pousser la Russie à entrer sur le territoire ukrainien pour mettre fin à ce génocide, ce qu’elle a fini par faire après 8 ans et… 15 000 morts dans le Donbass.
- Embourber la Russie par un soutien financier et militaire massif de l’Ukraine.
- Conduire la Russie vers l’usage de l’arme nucléaire.
- Et enfin anéantir la Russie par une réplique nucléaire ainsi justifiée.
Aujourd’hui, clairement,objectivement, on en est au point 8. L’État Profond nous mène vers le point 9.
What next ?
Pour l’instant nous n’en sommes pas arrivés à l’usage de l’arme nucléaire. Le projet de conquête de la Russie par la mafia khazare, que nos lecteurs connaissent bien(2), et que Gérard Chevrier connait aussi, Poutine le connaît aussi. Ce dernier a bien compris que l’Occident (États-Unis et Europe de Bruxelles) veut l’entraîner une nouvelle fois vers la guerre, et il gère cette situation avec beaucoup de sang froid. La Russie ne se fera pas avoir une nouvelle fois. Écoutons la déclaration du Président russe du 21 novembre 2024 :
Alors que l’Occident est en plein désarroi à la suite de l’élection — non souhaitée par l’État Profond américain — de Donald Trump, à la suite de la faiblesse de tous les dirigeants occidentaux actée d’élection en élection malgré les trucages, Poutine est fort et serein. Voici ce qu’il annonce :
• Le conflit régional en Ukraine, précédemment provoqué par l’Occident, a acquis des éléments de caractère mondial.
• Toutes les tâches que nous nous sommes fixées seront accomplies.
• En réponse à l’utilisation à longue portée américaines et britanniques, les forces armées russes ont lancé, le 21 novembre dernier, une frappe combinée sur l’une des installations du complexe défense-industrie de l’Ukraine.
• Dans des conditions de combat, l’un des plus récents systèmes russes de missiles à moyenne portée a été testé, en l’occurrence un missile balistique en configuration hypersonique non nucléaire.
• Nous nous considérons autorisés à utiliser nos armes contre les installations militaires des pays qui autorisent l’utilisation de leurs armes contre nos installations(3).
• Bien entendu, lorsque nous choisirons, si nécessaire et à titre de mesures de rétorsion, des cibles à frapper par des système tels qu’Oreshnik sur le territoire de l’Ukraine, nous proposerons à l’avance aux civils de quitter ces zones dangereuses et nous demanderons aux citoyens des pays amis qui s’y trouvent de le faire(4).
• Il n’existe aucun moyen de contrer ces armes aujourd’hui.
La Russie prend le dessus. Elle a les moyens de frapper n’importe quel site occidental, où elle veut, quand elle veut. Elle ne le fait pas car c’est d’elle qu’émane la retenue.
Panique à OK Corrall
L’État Profond américain, surpris par la victoire de Trump(5), joue son va-tout avant la prise de fonctions du nouveau président. Le secrétaire général de l’Otan, le Néerlandais Mark Rutte, a rencontré précipitamment Donald Trump, mais il est reparti bredouille. L’Otan annonce une réunion d’urgence ce mardi 26 novembre afin d’analyser la situation nouvelle engendrée par la frappe russe à Dnipro.
L’Otan, bras armé de l’État Profond mondialiste, a bâti une stratégie sur plusieurs dizaines d’années pour anéantir la Russie. Lâchera-t-elle l’affaire ? Si près du but ?
Les faucons et vrais néo-con-servateurs bellicistes américains iront-ils jusqu’au bout de leur sinistre projet hégémonique ? Qui est en phase avec leur dessein de réduire la population mondiale. Cela ne les gênera pas puisqu’ils ont tous leur abri anti-atomique.
Bien malin celui qui sait ce qui nous attend. Le futur radieux annoncé par Philippe Guillemant, adviendra-t-il avant ou après la déflagration nucléaire ? La situation évolue de jour en jour, si ce n’est d’heure en heure.
Gérard Chevrier évalue à 80 % la probabilité d’une guerre nucléaire. Je suis très sensible à son raisonnement. Je l’évalue pour ma part à 20 %. Mais ceci ne signifie pas pour autant que nous échapperons à des périodes de troubles profonds.
En clin d’œil à notre article : Attal, Bardella, Branco : l’heur(e) des blancs becs du 4 novembre 2024
Lire dans nos colonnes : L’histoire cachée de l’effroyable mafia khazare du 1er juillet 2019
Grâce à Macron et à l’ensemble de nos élus inconséquents, la France fait dorénavant partie des cibles des missiles russes.
Nous n’aurions jamais dû cesser d’être l’ami des Russes.
Lire dans nos colonnes : Les mondialistes aveuglés par leur outrecuidance du 11 novembre 2024
Remarquable intervention de ce monsieur qui sait de quoi il parle et qui révèle bien des secrets sur les petits arrangements des grands de ce monde ; pauvres peuples auxquels ils mentent sans arrêt ! En tout cas, bravo d’avoir déniché cette pépite, même si ce n’est pas très rassurant !