
Nos dirigeants européens sont-ils des créatures façonnées par les derniers nazis survivants ?
« Hitler ? Il y en a pour 1 000 ans ! ». C’est une phrase prononcée en 1940 par Paul-Henri Spaak, socialiste, qui fut premier ministre de Belgique. Il est considéré comme l’un des « Pères » de l’Europe ; il fut en outre le deuxième secrétaire général de l’Otan, l’Organisation du Traité de l’Atlantique Nord, fondée le 4 avril 1949.
Hitler pour 1000 ans, c’est aussi le titre de l’ouvrage d’un autre belge, Léon Degrelle, à l’autre bout du spectre politique, qui fut commandeur de la 28e division Waffen SS Wallonie, qui mourut en exil en Espagne en 1994. Il croyait à son idéal et il lui est resté fidèle pendant que tout le monde trahissait.
Cette phrase de Spaak et ce titre du livre de Degrelle qui apparaissent tous les deux comme une boutade auraient-ils une pertinence à notre époque ?
![]() Paul-Henri Spaak |
![]() Léon Degrelle |
Le titre de cet article paraît aussi être une boutade, il est inspiré par la science-fiction et le fantastique, elle contient cependant une part de vérité.
Utopie, dystopie, uchronie
Chacun de ces mots désigne un genre littéraire proche de la science-fiction, de l’anticipation ou du fantastique, ou les trois à la fois.
Utopie
C’est un mot inventé en 1516 par l’écrivain Thomas More. Selon le dictionnaire de l’Académie française, c’est la « conception imaginaire d’un gouvernement, d’une société idéale. Par extension, il se dit d’une Chimère, de la conception d’un idéal irréalisable. »
L’utopie commence toujours bien, elle part toujours d’une bonne intention, comme un rêve d’enfant, peuplé de peluches, de mots d’amour et d’espérance radieuse et elle finit toujours mal.
Il y a des utopies « de droite », comme le national-socialisme, ou des utopies « de gauche » comme le socialisme, national lui aussi, mais en même temps universel. Les deux catégories n’aboutissent qu’à des dictatures féroces, des bains de sang, des massacres, des tortures, des génocides, des horreurs (Révolution française, Révolution bolchevique, Révolution maoïste, Khmers rouges, Vietminh, etc.)
L’exemple le plus sinistre et le plus emblématique reste encore celui des camps de concentration du nazisme, camps qu’il n’a pas inventés : ce sont les Espagnols qui sont les premiers à avoir construit des camps de concentration lors de la guerre d’indépendance cubaine (1895−1898), suivis de près par les Britanniques pour parquer les Blancs d’Afrique du Sud, les Boers, et leurs alliés noirs Bantous entre 1899 et 1921(1).
Uchronie
C’est un genre littéraire qui, selon le dictionnaire de l’Académie française, est une « œuvre dans laquelle certains faits du passé sont volontairement modifiés, de façon à pouvoir envisager l’histoire non pas telle qu’elle a été, mais telle qu’elle aurait pu être, le plus souvent dans un but philosophique, politique ou moral. ».
L’uchronie va dépeindre une autre histoire, celle qui aurait pu se dérouler différemment si telle circonstance imprévue avait dévié le cours initial de celle qui s’est réellement passée.
L’Américain Philip K. Dick a écrit en 1962 un roman uchronique intitulé : Le Maître du Haut Château dans lequel l’auteur imagine que la deuxième guerre mondiale a été gagnée par les forces de l’Axe : Allemagne, Japon, Italie ; l’action se déroule aux États-Unis occupés par ces forces, installées à l’Est (l’Allemagne) et à l’Ouest de l’Amérique (le Japon).
Dystopie
Les auteurs de science-fiction ont toujours fait œuvre de prophètes. Les romans de Georges Orwell (1984) ou d’Aldous Huxley (Le meilleur des mondes) décrivent parfaitement la sombre époque que nous vivons.
La dystopie s’attache à présenter les conséquences funestes de toute idéologie. Elle tient donc aussi de l’utopie, dans ses conséquences catastrophiques bien prévisibles.
Selon le Larousse, la dystopie décrit une « société fictive sombre et dangereuse. Le monde dystopique est un monde imaginaire, généralement sous le contrôle d’un pouvoir tyrannique et totalitaire, ou d’une idéologie néfaste. »
Nous restons là, pour l’instant, dans la littérature. Mais, de fait, ces trois termes s’enchevêtrent et se répondent et les auteurs que j’ai cités participent des trois définitions dans leurs œuvres. De même que la réalité, car une représentation réelle existe qui entre dans chacune de ces cases, et nous vivons, nous Européens, dans le cauchemar de cette matrice que nous n’attendions pas.
Un cauchemar qui devient réalité
Un cauchemar qui inclut à la fois :
• Une utopie : le nazisme d’origine qui, comme toutes les utopies, se voulait une société idéale.
• Une uchronie : le nazisme n’a pas disparu en 1945, il s’est adapté pour survivre
• Une dystopie : le national-socialisme s’est travesti en accentuant ses tendances tyranniques et totalitaires jusqu’à devenir un cauchemar pour les peuples européens.
Ce cauchemar s’appelle l’Union européenne.
Il est issu de cinq facteurs que nous avons traités plus largement dans des articles précédents(2).
• Plusieurs grandes banques et grandes sociétés américaines ont aidé les nazis à prendre le Pouvoir, telles que Morgan, Chase Manhattan (Rockfeller), Ford, General Motors, Standard Oil, etc.
• Les mêmes banques et sociétés, mais aussi d’autres banques et sociétés, mais aussi des organismes divers étatiques ou paraétatiques (C.I.A, OTAN…) américains ont aidé les dignitaires nazis survivants à la fin de la guerre et les ont intégrés à leurs activités, tel Wernher von Braun, ingénieur du IIIe Reich devenu directeur de la NASA.
Les criminels nazis de la seconde guerre mondiale n’ont jamais disparu :
— Citoyen initié (@CitoyenInitie) July 30, 2025
Ils ont été mutés à des postes importants tels que commandant de l’OTAN, directeur de la NASA, secretaire général de l’ONU, agent américain, etc…
Certains sont également devenus fondateurs de l’Europe. pic.twitter.com/NLTZvVuSRE
• Un grand nombre de ces hauts fonctionnaires nazis ont intégré les structures de l’Union européenne naissante tels Walter Hallstein, ancien président de la Commission européenne.
• Ces dignitaires ont proposé à leur succession des jeunes gens qui, pour beaucoup, avaient été formés par les Américains dans le cadre du programme « Young leaders », ou qui appartenaient déjà à des entreprises américaines comme Emmanuel Macron, un Young leader devenu associé de la banque Rothschild(3).
• Des Français à la solde des Américains ont occupé, tout comme les anciens nazis, de hautes fonctions au cœur même de l’Union européenne, comme Jean Monnet, considéré comme l’un des « pères » de la construction européenne.
L’Union européenne : nous parlons d’un regroupement d’États effectué par un organisme qui ne rend de comptes à personne, une assemblée non démocratique puisque représentée uniquement par des dirigeants non élus, tel que ce totalitarisme a vraiment existé depuis la Révolution française qui a été l’exemple initial et l’initiatrice de tous les États totalitaires qui ont suivi et dont j’ai donné des exemples plus haut.
J’ai consacré un chapitre, « L’avenir de l’Europe vu par deux Russes », Alexandre Zinoviev (1922−2006) et Vladimir Boukovsky (1942−2019), dissidents à l’époque du communisme, dans mon livre La Roue et le Sablier(4), paru en 2015, pour évoquer leurs mises en garde, fortes de ce qu’ils ont alors vécu.
Boukovsky disait en 2006 : « Il va y avoir un effondrement de l’Union européenne tout comme l’Union soviétique s’est effondrée. Mais n’oubliez pas que, quand ces choses s’effondrent, elles laissent entrer une telle dévastation qu’il faut une génération pour s’en remettre. Pensez seulement à ce qui se passera s’il arrive une crise économique. Les récriminations entre nations seront immenses. Ça pourrait mener à une explosion. Regardez l’immense nombre d’immigrants du tiers-monde vivant maintenant en Europe. Cela a été encouragé par l’Union européenne. Que se passera-t-il avec eux s’il y a un effondrement économique ? Nous aurons probablement, comme en Union soviétique à la fin, tellement d’affrontements ethniques que cela donne le vertige. […] C’est pourquoi, et je suis très franc là-dessus, plus tôt nous en finirons avec l’UE, mieux cela vaudra. Plus tôt elle s’effondrera, moins il y aura de dégâts pour nous et pour les autres pays. Mais nous devons faire vite parce que les eurocrates agissent très rapidement. Il sera difficile de les vaincre. »
Voilà qui paraît être un canular : une structure étatique qui ressemble à l’Union soviétique mais qui est dirigée par d’anciens nazis ?
Voici ce que disait encore Boukovsky : « Si vous parcourez toutes les structures et tous les traits de ce monstre européen émergeant, vous remarquerez qu’il ressemble de plus en plus à l’Union soviétique. L’Union soviétique était un État dirigé par l’idéologie. L’idéologie d’aujourd’hui de l’Union européenne est sociale-démocrate, étatiste et, en grande partie, politiquement correcte.»
Curieux mélange des genres : une « idéologie sociale-démocrate » qui, on le voit bien, se serait transformée en quelques années en un État au-dessus des États qui le composent, une structure totalitaire et brutale, sans aucune légitimité populaire, puisque gérée par des gens non élus ?
Comment en sommes-nous arrivés à cette situation ubuesque ?
Personne n’aurait pu imaginer que les derniers représentants du parti nazi fondé par Hitler, ou leurs avatars, conquerraient l’Europe 80 ans après la fin de la deuxième guerre mondiale, une guerre qu’ils croyaient avoir perdue, et que ce même parti nazi remplacerait sur le plan éthique, voire doctrinal, et d’une manière si efficace, le parti communiste de l’URSS, au point de le dépasser dans tout ce qu’il avait de plus odieux pour des Européens de souche attachés à pérenniser leur Histoire, leur terroir, leurs coutumes et leurs traditions.
Il est difficile d’expliquer d’une manière pertinente les motivations de ces individus qui ont fait qu’ils ont donné naissance à ce « monstre », l’Union européenne, comme l’appelle Boukovsky.
Les événements qui se sont produits avant, pendant et après la deuxième guerre mondiale ont tellement marqué certains acteurs de ces événements qu’on a vu apparaître des comportements qui ressemblent fort à des pathologies psychiatriques comme cela est arrivé, par exemple, pour les vétérans américains de la guerre du Vietnam.
Par le traumatisme que ces survivants ont vécu à la fin de leur épopée tragique et néanmoins grandiose – on pense à ce film de Visconti, Les Damnés -, entraînés dans une folie mégalomaniaque, possédés par le démon de l’hubris, obsédés par la rancœur, le désir de revanche, dépourvus de toute empathie pour le monde qui les avait vaincus en 1945 et où ils étaient contraints de vivre en promiscuité avec les populations qu’ils voulaient soumettre, ces rescapés de l’enfer ont attendu longtemps avant de faire subir aux peuples européens une terrible vengeance et de leur faire payer au centuple le prix de leur humiliation, coûte que coûte, quel que soit le niveau de leurs compromissions avec leurs anciens ennemis démocrates ou républicains, de gauche ou de droite, qui ne valent pas mieux qu’eux.
On ne peut pas dire que ceux qui ont remplacé ces vétérans aux mêmes postes puissent être considérés comme des personnes jouissant de toutes leurs facultés mentales.

Kiev : Grande manifestation publique à la gloire de Joseph Bandera, héros ukrainien adepte du nazisme
L’Union européenne est devenue une société dirigée par des psychopathes, manipulateurs pervers narcissiques, certains à la limite de la folie, tels des Néron ou des Caligula, qui oppriment les peuples qu’ils dirigent, légitimement ou non, mais plutôt non, la plupart des élections, si ce n’est toutes, ayant été truquées : on sait les diverses manipulations qui ont été perpétrées pour dégager certains élus du peuple qui ne plaisaient pas à ce consortium mafieux. Nous nous rappelons comment un candidat légitimement élu a été évincé pour des motifs fallacieux en Roumanie.
La caste politique occidentiste : au mieux, un agglomérat de déficients mentaux
Mais il semble que toute la classe politique occidentiste(5) actuelle soit atteinte par cette inconstance et cette inconsistance, voire cette dégénérescence « cognitive » :
-tout le monde sait ce qu’il faut penser de l’attitude extravagante (pour le moins) d’un Macron ; nous craignons juste qu’il n’ait l’idée d’appuyer sur un bouton rouge qui serait à portée de sa main, d’un geste impulsif.
• Que dire des élucubrations d’un Donald Trump, capable de dire tout et son contraire en l’espace de cinq minutes et de trois pirouettes grotesques ?
• Que penser des volte-face constantes d’une Meloni, « présentée comme une féroce adversaire à l’Union européenne, la voilà désormais dans ses déclarations, pro‑U.E, pro-Euro et pro-Otan. Un virage à 180°, à la vitesse d’une Maserati, qui a déjà été pris lors de plusieurs déplacements et rencontres internationales. » (Xavier Azalbert, 11 août 2023),
• Que penser de l’attitude complètement débridée, possiblement sous l’emprise de stupéfiants, des trois Pieds Nickelés européens : Starmer, Merz et Macron, lors de ce mémorable trajet en train pour Kiev ?
• Que penser de ce voyage d’allégeance à Israël de Jordan Bardella et Marion Maréchal à Tel-Aviv au mois de mars pour soutenir Netanyahou ? Quel intérêt y a‑t‑il à soutenir un gouvernement discrédité dont deux des principaux représentants sont poursuivis par la Cour Pénale Internationale de Justice pour crime de guerre et crimes contre l’humanité commis dans la bande de Gaza occupée et martyrisée(6)?
• J’ai gardé le meilleur pour la fin : l’intervention d’Ursula Von Der Leyen en Finlande qui s’adresse à des personnes qui protestent contre sa politique en leur disant qu’ils ont « de la chance d’être dans un pays de liberté d’expression alors qu’en Russie ils seraient arrêtés ». Juste au moment où le protestataire est justement… arrêté et dégagé manu militari par la police !
Scène incroyable ! (cf vidéo ⤵️)#Ursula Von der Leyen en Finlande s’adresse à des personnes qui protestent contre sa politique en leur disant qu’ils ont « de la chance d’être dans un pays de liberté d’expression alors qu’en #Russie ils seraient arrêtés » !
— Florian Philippot (@f_philippot) August 8, 2025
…Juste au moment où… pic.twitter.com/dyuUSirVKT
Ce sont des gens qui n’ont pas de « forme » ; avoir une forme, c’est être capable de se tenir debout avec une colonne vertébrale, une nuque raide, un cerveau au-dessus et un cœur au-dessous.
Voilà donc l’héritage que nous a, en fin de compte, véritablement transmis le IIIe Reich. Il est abominable.
Ce qu’il y a de bien avec une uchronie qui se réalise, c’est qu’on a eu les deux versions en même temps : la version historique qui s’est légitimement réalisée et la version fantastique qui s’est aussi réalisée ; alors, nous avons le choix de continuer avec l’une ou l’autre, ou de créer un nouveau futur.
Cette Europe sans honneur du XXIe siècle qui se vautre dans les miasmes de la décadence, valait-elle la peine que les puissances qui régnaient alors sur le monde envoient à l’abattoir 60 millions d’êtres humains pour des raisons de vil intérêt ? Pour faire tourner les usines du complexe militaro-industriel des oligarques d’alors ?
• Cela valait-il la peine de fusiller un poète comme Brasillach qui était un rêveur avec son visage d’enfant aux lunettes rondes, un utopiste lui aussi(7), bouleversé, exalté, mais trompé, par le romantisme du « fascisme immense et rouge » (et noir aussi) et les grandes messes de la jeunesse hitlérienne à Nuremberg ?
S’il avait su que ces hommes qu’il admirait tant, sanglés dans leurs uniformes impeccables, n’étaient, finalement, rien de plus que ces petits êtres mesquins et sordides qui nous gouvernent aujourd’hui…
• Cela valait-il la peine que la Russie, si injustement attaquée et décriée aujourd’hui, sacrifie 21 millions de ses enfants, guidés par un autre drapeau rouge – une autre utopie – à travers les ruines de Stalingrad et sur les champs de bataille européens ?
• Cela valait-il la peine que les paysans et les artisans de nos campagnes risquent leur vie pour faire sauter des trains de munitions, la peur au ventre, pendant que femme et enfants attendaient avec angoisse leur retour à la maison ?
• Cela valait-il la peine que mon père, venu d’Algérie, sacrifie 10 ans de sa vie, en tant qu’appelé, pour défendre cette France ingrate ?
Tous ces sacrifices pour obéir à une telle crapulerie nauséabonde qui, tout comme de nos jours, se souciait alors fort peu du sort de son peuple…
J’aime citer cette phrase de Emil Cioran qui convient si bien à notre époque : « Est-ce à cette vermine que devait aboutir une civilisation aussi délicate, aussi complexe ? Peut-être fallait-il en passer par là, par l’abjection, pour pouvoir imaginer un autre genre d’homme ? »
C’est ce que j’appelle de mes vœux : un nouveau futur.
Mais, en attendant, le cauchemar continue. Jusqu’à quand ?
Pierre-Émile Blairon
Voir l’article de Wikipedia : Camps de concentration britanniques en Afrique du Sud. « Sur près de 145 000 femmes et enfants boers internés dans 49 camps, 27 927 y moururent, victimes de conditions de vie effroyables, aggravées par des épidémies de rougeole et de typhus. »
Lire dans nos colonnes : L’Ukraine, berceau et tombeau des Européens ? du 4 mars 2023
Lire dans nos colonnes : L’extrême droite en Europe : tout va changer pour que rien ne change du 27 janvier 2025
La Roue et le Sablier, Amazon, p. 210 et suiv.
J’emploie à dessein le terme utilisé par les deux dissidents russes dans leurs ouvrages car il est plus précis que le mot « occidental ».
Lire mon article : Condamnation de Marine Le Pen : l’extrême-droite la plus bête du monde ! du 31 mars 2025
Il écrivait ceci dans Lettre à un soldat de la classe 60 : « Le fascisme, il y a bien longtemps que nous avons pensé que c’était une poésie et la poésie même du XXe siècle (avec le communisme sans doute). Je me dis que cela ne peut pas mourir. Les petits enfants qui seront les garçons de vingt ans plus tard apprendront avec un sombre émerveillement l’existence de cette exaltation de millions d’hommes, les camps de jeunesse, la gloire du passé, les défilés, les cathédrales de lumière, les héros frappés au combat, l’amitié entre les jeunesses de toutes les nations réconciliées. »
Les articles du même auteur
Pierre-Émile Blairon est l’auteur d’un certain nombre de livres liés à l’Histoire, notamment de la Provence, de Nostradamus à Giono et à la fin du Cycle :












Superbe article ! Tout est dit et magnifiquement dit !!! Merci monsieur Blairon.
Si Monsieur Blairon connaissait mieux l’histoire du national-socialisme et de l’Allemagne d’après-guerre, il verrait aisément que cette histoire de collusion entre les vainqueurs occidentaux de la Seconde guerre mondiale et les « nazis » est une vaste blague. Ceux qui ont ensuite collaboré avec les Occidentaux ne l’ont fait que par opportunisme personnel, et aucunement par idéologie. Les blocs alliés et les banques souvent juives ont férocement combattu le national-socialisme, ce n’est pas pour le réhabiliter ensuite. Dans l’Allemagne d’après-guerre, de même les nationaux-socialistes ont été férocement pourchassés, détruits socialement. Certains ont réussi à échapper à la mort sociale là encore par opportunisme, et parce qu’ils se tenaient politiquement « à carreau ». De même, ceux qui, comme le général Paton, auraient bien vu une alliance avec l’Allemagne NS ont été impitoyablement neutralisés dans leur élan. De même le parti de Mme von der Leyen, la CDU, n’est pas en reste dans son obsession à voir des nazis partout, à les pourchasser, sort que subit actuellement l’AfD en Allemagne. Tout cela est grotesque. À quand un article sur la Terre plate et les reptiliens ?