Ce « wokisme » qui nous submerge : attention, danger !
Le wokisme se revendique de la culture « woke » ; ce dernier terme étant la forme au passé du verbe « wake » (réveiller). Une personne « woke » se définit comme étant consciente de toutes les injustices et toutes les formes d’inégalités et oppressions qui pèsent sur les minorités, du racisme au sexisme… En passant désormais par les agressions environnementales… Tout fait ventre ! Le phénomène est apparu dans les années 2010, aux États Unis et a, bien évidemment, traversé l’Atlantique pour faire florès chez nous. « Privilège blanc » et « racisme systémique » sont parmi les concepts les plus à la mode dans l’argumentaire woke.
Ce mouvement n’a rien d’anodin
Il dissimule en réalité un projet d’effacement de nos cultures et, à terme, de nos peuples car la « chasse au Blanc » est désormais ouvertement revendiquée.
« Pour le comprendre, il faut se plonger dans cette pensée “décoloniale” » explique Georges Guiscard, étudiant en sciences politiques et auditeur de l’Institut Iliade, qui vient de publier « Le privilège blanc » (La Nouvelle librairie) un livre qui s’attelle à décrypter le phénomène. Outre de multiples contre-vérités, nous dit le résumé, ce qui est démasqué, c’est une idéologie de nature « religieuse » : « Le “wokisme”, ses prophètes, ses martyrs (saint George Floyd), ses dogmes, ses excommunications. Une idéologie pleine de ressentiment qu’appuie, pour diverses raisons, une partie croissante de l’élite occidentale. »
Il faut savoir que le « privilège de la peau blanche » est un concept déjà utilisé en 1975 par le militant communiste américain Theodore W. Allen qui situe l’origine du mal dans les plantations des colonies américaines où les Européens se seraient livrés à la hiérarchisation des races et l’infériorisation de certains peuples. Le privilège blanc serait donc l’expression de ce racisme fondateur devenu « structurel » ou « systémique » et qui engendrerait des discriminations quotidiennes. Par exemple, la couleur des pansements serait discriminante dans la mesure où elle rappellerait aux Africains que leur couleur de peau n’est pas dans les canons de la « norme blanche ». Ça ne s’invente pas.
Il serait imprudent de sous-estimer l’importance du phénomène woke
Ce mouvement porte en lui de grands périls. En effet si les Blancs sont responsables de tout, la solution logique devient l’abolition de la blanchité, c’est-à-dire de la civilisation occidentale voire de la « race blanche » comme a pu l’affirmer l’historien communiste Noel Ignatiev. La colonisation et l’esclavage auraient laissé tant de plaies qu’il serait impossible aux Africains de s’en remettre. Christiane Taubira l’a ouvertement écrit : « Nulle réparation matérielle n’effacera un crime si grand que l’esclavage ou la colonisation. » En d’autres termes, le crime est ineffaçable et la victime est éternelle. Les Blancs sont ainsi condamnés à ne jamais pouvoir se laver de ce pêché originel fantasmé. Une théorie qui procède de la victimisation, de la haine et de la culture de l’excuse. L’Histoire a montré que ce type de rhétorique pernicieuse est à l’origine de nombreux massacres – ceux des révolutions française et bolchévique notamment – car tout est permis au nom de la lutte contre les privilèges illégitimes et contre le racisme. Or, l’idéologie woke ne cherche pas la justice mais la punition ce qui amène à redouter les pires développements. D’aucuns, à l’instar de Guiscard, parlent déjà de « climat pré-génocidaire ».
Ainsi, plus les Blancs accepteront le discours woke, plus ils seront débiteurs. Car, à l’inverse des autres communautés, les Européens ne se perçoivent pas comme un groupe et ne réagissent pas (excepté le Groupe de Visegràd). Pire, ils sont enclins à se sentir fienteux et à s’auto-censurer cruellement, quand ils ne s’engagent pas eux-mêmes dans la promotion du wokisme. C’est flagrant dans le milieu de la consommation où les marques jouent de plus en plus sur ces codes woke pro-diversité et anti-Blancs. C’est L’Oréal, par exemple, qui annonce retirer de ses produits et de sa communication des mots tels que « blanc », « blanchissant » et « éclaircissant », au plus fort de la crise « Black Lives Matter » ! Il faut dire que les commissaires politiques, en nombre croissant, sont partout qui traquent sans répit toute forme de blanchité ou de binarité du genre. Toute la société marche désormais sur des œufs.
Tôt ou tard, il y aura de la casse
Les grandes villes américaines sont d’ores et déjà rongées jusqu’à l’os par le wokisme et l’idée de mettre fin au privilège blanc. Nous avons donc toutes les raisons d’être inquiets depuis que ce mouvement a été importé en France, alimenté par l’affaire Adama Traoré. Car depuis, le privilège blanc ne cesse d’être évoqué par des personnalités en vue, nos « pipoles » Bien-Pensants en première ligne. Ce fut d’abord la romancière Virginie Despentes, en juin 2020, puis Emmanuel Macron, l’ethnomasochiste en chef, dans une interview à L’Express. La diffusion de ces idées est donc fulgurante. Aujourd’hui, ces décoloniaux et autres militants anti-Blancs poussent l’avantage jusqu’à prétendre que les Européens n’ont plus le droit d’être eux-mêmes sur leur terre ! La volonté d’expropriation et de conquête de la terre ancestrale des Blancs est indéniable. Nonobstant, les élites françaises sont atteintes d’ethnoculpabilité pathologique. Davantage par calcul politique, d’ailleurs – draguer les minorités pour les uns, donner des gages à la gauche pour les autres –, que par conviction. Elles y sont poussées par le clergé progressiste (médias dominants, associatifs gauchistes, universités) qui veut détruire notre civilisation de l’intérieur, en France et partout en Occident.
Par effet d’aubaine, cette lutte des races s’est doublée d’une lutte des sexes et des sexualités
Toujours au nom du combat contre les structures d’oppression, bien sûr, en l’occurrence l’hétéro-patriarcat. Ainsi, l’emblème de l’Occident est-il devenu en quelques mois le drapeau arc-en-ciel frappé du faciès patibulaire de George Floyd !
Il ne faut donc surtout pas regarder le phénomène woke d’un air détaché ou amusé. Bien au contraire. Face à cette offensive dont ils sont la cible, les Européens se doivent de réagir et de réaffirmer avec fierté leur héritage. À cet égard, certains médias, pourtant très partie prenante dans la lutte contre les inégalités d’ordre patrimonial, économique et social, semblent recouvrer un soupçon de lucidité. Le journal Le Monde, par exemple, nous mettait en garde, en juin 2020, par la voix de Corinne Narassiguin, secrétaire nationale à la coordination du Parti Socialiste – qui l’eût cru ? – : « Dans le contexte français, parler d’abolir le privilège blanc, c’est donner à croire que la lutte antiraciste serait un combat contre le statut de Blanc. Si ça n’était qu’inepte, ça ne mériterait pas une tribune. Mais c’est bien plus que cela, c’est grave et dangereux. »
Par conséquent, nous devons de toutes nos forces refuser la vulgate « antiraciste » généralement cheval de Troie des « anti-Blancs » (et trans). Il est impératif de nous réveiller à notre tour et de conscientiser que les revendications des antiracistes sont infondées, que leur logique est spécieuse et que leur rhétorique est dangereuse. Georges Guiscard prévient : « Le “privilège blanc” qu’ils veulent détruire est notre civilisation, le patrimoine que nous ont laissé nos aïeux. La race blanche qu’ils veulent abolir, c’est nous, c’est notre existence-même… Défendez-vous ! »
Il n’y a rien à rajouter.
Charles ANDRÉ
« L’important n’est pas de convaincre mais de donner à réfléchir. »
Qq un m’a balancé ça par messagerie.
(Je crois que je devrais creuser la question…)
« Le plus grand génocide de l’histoire de l’Humanité se passe actuellement et beaucoup de gens le savent.
Le plan Kalergi a été mis en œuvre pour éradiquer lentement la race blanche en éliminant les blancs et l Occident par le multiculturalisme et l’immigration de masse.
Vous ne savez pas pourquoi les pays blancs ne peuvent pas avoir une seule nation blanche ? Mais toutes les autres races et nations le peuvent ?
Maintenant, tu sais.
Pourquoi Trump, nos dirigeants élus ou les médias dans leur ensemble ne parlent-ils pas au monde du Plan Kalergi ? Et surtout, qui est derrière ? Vous devez savoir qui est votre ennemi.
Et pourquoi ils veulent que nous quittions cette terre. »
Cette puanteur idéologiste (qui de surcroît nous vient des EU) est à combattre sans quartier. La culture de la repentance, du pardon, du remplacisme, de la suppression, de la négation n’est ni plus ni moins que du négationnisme historique en transformant des réalités d’une époque en crimes dont on aurait à se laver des années, des décennies, des siècles plus tard. LA CULTURE EUROPÉENNE EST RICHE, HISTORIQUE, ALTRUISTE, INNOVANTE, PUISSANTE, INCONTOURNABLE PARCE QUE INDESTRUCTIBLE.