De Qui, Robert Ménard, maire de Béziers, est-il le leurre ?
Nous avons dénoncé récemment l’intrusion incongrue du président putschiste Zelensky en visioconférence lors de l’assemblée de l’Association des Maires de France, sous la présidence de David Lisnard, maire de Cannes (lire Zelensky prépare t‑il son exil à Cannes ? du 24 novembre 2022). Le maire de Cannes n’est pas le seul à afficher une sympathie nauséabonde avec le régime ukronazi de Kiev.
Le maire de Béziers pavoise le siège de l’agglomération biterroise aux couleurs de l’Ukraine
(notre illustration ci-dessus)
Pourquoi s’attache t‑il à afficher sa sympathie avec le régime belliciste et raciste de Kiev ? A t‑il demandé l’avis des Bitérrois ? Ceux-ci savent bien que le Pouvoir en place à Kiev est issu du putsch de la Place Maïdan en 2014 fomenté par la CIA dans le but de pousser la Russie à la guerre. Le président-clown Zelensky est le pantin des États-Unis. Avec leur appui militaire et financier, il a continué de violer les accords de Minsk en bombardant le Donbass (15 000 morts) et en faisant de la torture des populations russophones du Donbas une règle de soumission (lire Tortures dans le Donbass : « ils » savent depuis 2016 du 31 août 2022).
Robert Ménard et son épouse Emmanuelle, députée, ancienne journaliste et cofondatrice de Boulevard Voltaire, ne peuvent ignorer les accointances ouvertes du régime ukrainien avec l’idéologie nazie. Cette ignoble complicité est publiée depuis des années dans la presse : Les médias grand public blanchissent les néo-nazis et leur guerre – une brève chronologie
Avant « l’opération militaire spéciale » russe du 24 février, nos grands médias (occidentaux) n’avaient aucun problème à publier des articles sur des personnes et des groupes comme Stepan Bandera, Roman Shukhevych, le bataillon Azov, le secteur droit, etc. pour ce qu’ils sont : des nazis collaborateurs et escouades paramilitaires (néo-)nazies. Il y a des articles exposant les innombrables monuments et rues portant le nom de collaborateurs nazis (Forward, 27 janvier 2021) et comment l’Ukraine a fait de l’anniversaire d’un collaborateur nazi une fête nationale (Haaretz, 27 décembre 2018).
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Le cofondateur de « Reporters sans frontières » et de Boulevard Voltaire, maire de Béziers et président de la communauté d’agglomération, doit être informé de la tournure de la guerre. Il sait donc que l’Ukraine est en train de la perdre. Il choisit alors le mauvais moment pour afficher ses sympathies avec le perdant annoncé.
Nous avons du mal à imaginer que Robert Ménard, qui par ailleurs est un bon maire — tout comme l’est David Lisnard à Cannes — s’engage en faveur du régime ukrainien sans subir d’énormes pressions. Nous nous posons la même question que pour David Lisnard : Qui pousse le maire de Béziers à se renier ainsi ? Pire : au mauvais moment.
Comment le fondateur de Reporters sans frontières en est-il arrivé là ?
Il faut chercher à comprendre. Chacun pressent bien que la guerre qui se déroule actuellement dans les plaines du Donbass n’est pas seulement une guerre territoriale, mais une guerre civilisationnelle. Du reste ce n’est pas l’Ukraine qui affronte la Russie, c’est l’OTAN qui ne s’en cache pas. À travers l’OTAN, les États-Unis entraînent tous les pays inféodés d’Europe dans une guerre où ils perdront beaucoup. Rien ne justifie cet engagement délétère de la France dans ce conflit fomenté de longue date par les États-Unis qui ont fait de l’Ukraine le nouveau fer de lance de leur influence : laboratoires virologiques clandestins, GPA, LGBTQIA+, athéisme et hédonisme, corruption omniprésente au plus haut niveau des États ukrainiens et nord-américains.
Autodafé d’icônes par l’armée ukrainienne au prétexte que l’Église orthodoxe ukrainienne se place sous l’autorité du patriarche russe Kirill. De nombreuses églises ukrainiennes sont également bombardées ou incendiées.
L’Ukraine est le reflet de ce que les États-Unis nous préparent.
Prendre parti pour l’Ukraine, c’est en fait se soumettre à la culture woke voulue par une certaine élite américaine
Cet asservissement passe par la destruction de toutes les cultures enracinées et traditionnelles. Robert Ménard se soumet à ce Nouvel Ordre Mondial derrière une agitation anti-immigrationniste. La preuve nous en est donnée par les prises de position très Bien Pensantes de son épouse, Emmanuelle Ménard, sur « LE » vaccin. Celle-ci avance : « Aujourd’hui, la seule chose qui a montré son efficacité, c’est le vaccin » [source Boulevard Voltaire]. Glup ! Mais où est-elle allée chercher cela ? C’est tout le contraire. Emmanuelle Ménard se dit favorable à l’injection pour tous de la potion qui ne guérit de rien, et donc par suite favorable au passe sanitaire.
Ukraine – Soumission à une élite américaine sataniste – Vaccination obligatoire – Passe sanitaire… Le fil conducteur apparaît. Les Français le voit car il devient une grosse ficelle. Robert Ménard fait mine de ne pas le voir.
Les Ménard, sous couvert d’indépendance, roulent pour le Nouvel Ordre Mondial
Ils supportent d’être catalogués à « l’extrême droite » car c’est le rôle qui leur est attribué. Ainsi de l’extrême droite à l’extrême gauche, le consensus se fait sur les choix de société orchestrés par le sommet qui complote contre les Peuples au Forum de Davos. Tout comme les Ménard, Mélenchon est lui aussi favorable à la piquouze pour tous : Vaccination obligatoire : pour Mélenchon « il faut convaincre et pas contraindre ». Marine Le Pen, très audacieuse sur ce sujet, ne souhaite pas que l’on injecte les enfants, mais ne s’y oppose pas pour les adultes.
Il est du reste tout à fait symptomatique que les personnes critiques à l’égard de l’engagement de la France dans la guerre contre la Russie sont aussi critiques à l’égard du projet de passe sanitaire et donc de passeport numérique.
En dénonçant l’immigration de masse mais sans en désigner ses promoteurs car ce sont les mêmes qui nous engagent dans la guerre en Ukraine, Ménard nous montre bien qu’il est un leurre
Il sert le Pouvoir profond en s’agitant dans l’opposition contrôlée et en contribuant à tromper les Français par une démocratie qui n’existe pas.
Georges Gourdin
Bonus : À la mairie de Saint Sauvian, toujours dans l’Hérault, le drapeau ukrainien éclipse carrément l’étendard français !
Vivement que la VÉRITÉ éclate au grand et que Poutine mette de l’ordre ! Voici un document ci-dessous qu’il faut envoyer aux maires tant passionnés par l’Ukraine martyrisée !
Bruno Leclercq http://www.la-bme.fr
Les aveux à peine croyables du conseiller de Zelensky sur la guerre avec la Russie
Auteur(s) Jean Neige, pour France-Soir. Publié le 02 novembre 2022
TRIBUNE – Dans une interview donnée en 2019, Olekseï Arestovitch, futur conseiller du président Zelensky, expliquait pourquoi il fallait une guerre avec la Russie, comment et quand elle allait se dérouler.
On se pince pour être sûr que l’on ne rêve pas. Comment est-il possible pour un dirigeant ukrainien de vouloir une guerre ouverte avec un pays aussi puissant que la Russie, quitte à ce que l’Ukraine soit dévastée ? C’est pourtant ce que préconisait Arestovitch, dans une interview donnée le 18 février 2019, quelques mois avant que Zelensky ne soit élu.
https://twitter.com/i/status/1582381428184322050
« Le prix à payer pour rejoindre l’OTAN est un grand conflit avec la Russie »
Selon Arestovitch, l’Ukraine était un pays trop grand, trop exposé, avec trop de voisins ayant des revendications sur son territoire, pour pouvoir choisir le chemin de la neutralité. Il fallait donc choisir entre la Russie et l’OTAN. Comme l’Ukraine avait déjà essayé la Russie, il fallait maintenant tenter l’OTAN. Toujours selon lui, si l’Ukraine ne rentrait pas dans l’OTAN, elle serait sous contrôle russe d’ici à 10 à 12 ans. Car le futur conseiller était certain que la Russie voulait réintégrer les pays de l’ex-URSS dans sa sphère d’influence. Cependant, il était parfaitement conscient qu’une Ukraine dans l’OTAN était inacceptable pour la Russie et qu’elle préférerait faire la guerre à l’Ukraine plutôt que de laisser son voisin adhérer à l’alliance militaire de l’ouest perçue comme une menace. Il en était sûr à 99 %.
C’est exactement ce qui s’est passé. Quand l’intervieweuse demande à Arestovitch ce qui est mieux pour l’Ukraine, ce dernier répond sans hésiter « la guerre ». De nombreux commentateurs sur Youtube admirent le talent de prédiction du futur conseiller. Mais il s’agit moins de prédictions, que de décrire un plan d’action. Pour lui, cette guerre allait commencer entre 2020 et 2022. Et, pour que ce plan se déroule comme prévu, il appelait à voter Zelensky. Arestovich était aussi convaincu que l’OTAN n’accepterait pas l’Ukraine en son sein avant qu’une guerre russo-ukrainienne n’ait lieu, une guerre dont il fallait que l’Ukraine sorte vainqueur, même si elle devait être dévastée pour cela. En d’autres termes, il fallait que l’Ukraine soit prête à un sacrifice énorme, pour s’assurer ensuite d’être complètement détachée de la Russie. Il précise encore que « dans ce conflit, nous serons activement soutenus par l’Occident – avec des armes, des équipements, de l’assistance, des nouvelles sanctions contre la Russie, et même possiblement l’introduction d’un contingent de l’OTAN, une zone d’exclusion aérienne, etc. Nous ne perdrons pas, et c’est bien ». Presque tout ce qu’il a dit s’est réalisé. La certitude et la confiance qu’il affiche laissent penser qu’il a déjà reçu des assurances de la part des Occidentaux pour tout ce qu’il avance. La prochaine étape est-elle l’entrée en guerre officielle de l’OTAN, par exemple, avec la 101ᵉ division aéroportée américaine, déjà déployée en Roumanie, en plus des contingents français et autres ?
La relecture du passé récent
À la lumière de cet entretien, on peut revoir tout ce qui s’est passé depuis, jusqu’à aujourd’hui, sous un jour nouveau. On a maintenant la quasi-confirmation que tout a donc été fait par l’Ukraine pour provoquer la guerre avec la Russie. En octobre 2019, le président Zelensky annonçait alors fièrement que l’Ukraine était prête pour reprendre le Donbass par la force. S’ils avaient voulu provoquer la Russie, c’est par là qu’il fallait commencer. Laisser la Russie attaquer la première était la meilleure stratégie pour pouvoir ensuite endosser le rôle de la victime et quémander le soutien de la terre entière contre l’agression de l’ogre russe. Il est d’ailleurs notable que, dans leur communication, les anglo-saxons insistent sur le fait que l’agression russe était absolument « non provoquée ». Comme le dira un internaute, s’ils insistent si lourdement là-dessus, c’est parce que l’agression fut au contraire provoquée. Gageons que la tentative de réanimer les accords de Minsk, avec la réunion du format Normandie le 9 décembre 2019 à Paris, aura retardé quelque peu l’affrontement voulu. Les Ukrainiens se prêteront à l’exercice imposé, en apparence, mais comme d’habitude ne respecteront aucun des engagements pris, si ce n’est l’échange de prisonniers.
Dès l’intronisation de Biden, fin janvier 2021, les provocations contre les intérêts russes reprenaient de plus belle, avec les persécutions judiciaires lancées contre Victor Medvetchuk, le leader de l’opposition favorable aux Accords de Minsk et à une politique de bon voisinage avec la Russie. La fermeture des chaines de TV d’opposition, dès le 2 février, allaient dans le même sens, comme le décret signé le 24 mars autorisant la reprise de la Crimée par la force. En moins de deux mois, Zelensky avait tenté le maximum pour provoquer la Russie. Mais cette dernière n’attaquait toujours pas. Par la suite, les États-Unis et l’Ukraine n’ont cessé de parler d’adhésion de l’Ukraine à l’OTAN. Le 1ᵉʳ septembre 2021, les États-Unis et l’Ukraine ont fait une déclaration commune de partenariat stratégique qui insistait lourdement sur la dimension sécuritaire. Ce travail débouchait le 10 novembre sur la mise à jour d’une charte commune signée initialement en 2008. Du point de vue russe, la pression montait. Plus le temps passait, plus le soutien américain à l’Ukraine augmentait. À quand les bombardiers stratégiques et les missiles américains déployés sur le territoire de l’Ukraine ? Dans la même période, à l’automne, les Russes ont alors sondé une dernière fois la volonté des Français et des Allemands pour faire pression sur les Ukrainiens, agissant de telle sorte que ces derniers négocient enfin avec les séparatistes dans le cadre des Accords de Minsk. Face au refus franco-allemand, les Russes excédés ont fini par publier le 18 novembre les échanges diplomatiques avec Paris et Berlin. Parallèlement, ils ont commencé à amasser des troupes aux frontières de l’Ukraine, pour faire pression. Des réunions ont eu lieu en janvier et février 2022, mais elles se sont heurtées aux mêmes obstacles. Ni Paris ni Berlin n’ont voulu exercer de pressions sur Kiev, comme à l’accoutumée. C’est là que les Russes ont définitivement pu conclure que les Accords de Minsk étaient morts, faute de volonté politique des trois autres signataires.On sait maintenant que lorsque Zelensky feignait de ne pas croire à l’invasion, en février 2022, il mentait. Il fallait juste éviter un exode des combattants potentiels dont on avait déjà prévu la mobilisation. Là où Arestovitch fait preuve de grande intelligence tactique dans son interview de 2019, c’est dans la description de tous les objectifs militaires et les modes opératoires qui seront mis en œuvre par la Russie. Tout y passe. De la tentative du siège de Kiev à la destruction des infrastructures. On comprend d’autant mieux pourquoi les Russes n’ont pas eu la partie facile, puisque les Ukrainiens, et leurs alliés anglo-saxons, avaient prévu leurs moindres mouvements. Savoir comment l’Ukraine a en quelque sorte savamment planifié et provoqué l’agression de la Russie – avec le soutien de l’allié américain (Cf. – Le rapport de la Rand Corporation pour déstabiliser la Russie) – est une raison de plus pour de cesser toute aide militaire à ce pays déraisonnable qui a volontairement joué avec le feu. Si seulement nous étions encore les maîtres souverains de notre politique étrangère…
Je ne vous suis pas sur vos appréciations sur le Président de l’Ukraine, qui n’est qu’un gentille colombe en face de l’ogre Poutine. Je n’oublie pas que l’URSS de Staline a fait massacrer près de 3 millions d’Ukrainiens
Bernard Henou, nous ne sommes plus au temps de Staline. Par contre les nazis, eux, on survécu, grâce entre autre à l’opération Paperclip (originellement appelée « Opération Overcast »). l’armée des États-Unis avait alors exfiltré et recruté près de 1 500 scientifiques allemands issus du complexe militaro-industriel de l’Allemagne nazie pour lutter contre l’URSS et récupérer les armes secrètes du Troisième Reich. Ces scientifiques effectuèrent des recherches dans divers domaines, notamment sur les armes chimiques (Zyklon B), sur l’usage des psychotropes…
C’est comme si on reprochait à Scholz ou à Merkel les massacres commis par Hitler
Regardez la vidéo qui résume tout le processus de manipulation autour du plan sataniste Covid. C’est un peu long (2 heures et demi), mais il faut bien cela pour décortiquer ce véritable COMPLOT :
https://crowdbunker.com/v/qxcpN7yhdU
Les cinglés de la piqûre sont les mêmes cinglés qui veulent déclencher en Ukraine une Troisième Guerre Mondiale.
Regardez la en plusieurs fois, mais regardez tout. Ouvrez les yeux, ouvrez les oreilles, sortez du troupeau que l’on emmène à l’abattoir !
Il est à noter que le maire macroniste de Sauvian, Bernard AURIOL, fait grief à Robert Ménard d’être… trop tiède dans son soutien au régime ukronazi et à Zelensky ! Il serait intéressant de « creuser » ce personnage, qui semble être en pointe dans le combat pro-kievien au sein de l’agglo.
Bien à vous !