Les cérémonies sataniques d’ouverture et de clôture des JO 2024

17 août 2024 | 2 Commentaires 

Alors que la presse fran­çaise com­plè­te­ment muse­lée glo­ri­fie Emmanuel Macron et « ses » Jeux Olympiques, il faut aller cher­cher dans la presse étran­gère des ana­lyses plus sérieuses sur le dérou­le­ment de cet évé­ne­ment et notam­ment sur les mes­sages lour­de­ment sata­niques des céré­mo­nies d’ou­ver­ture et de fer­me­ture.
Dès le 27 juillet Nice Provence Info vous aler­tait :
Les J.O. de l’humiliation, puis
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La planète entière est outrée par ce spectacle hideux.

Pour exemple nous repro­dui­sons ci-des­sous (avec l’aide de Google Traduction) l’ar­ticle écrit par Pascual Uceda et paru en langue espa­gnole dans ad alte­ra digi­tal. Voici ce que retiennent des mil­lions d’his­pa­no­phones à tra­vers la pla­nète du mes­sage de la France de Macron.

Les céré­mo­nies sata­niques d’ou­ver­ture et de clô­ture des JO 2024 :
Du cava­lier de l’Apocalypse à l’ar­ri­vée de Lucifer annon­çant un nou­vel ordre mon­dial issu du chaos

JO Paris 2024

Trois ans après la célé­bra­tion des Jeux olym­piques de Berlin en 1936, comme s’il s’a­gis­sait de l’oc­ca­sion la plus sug­ges­tive pour annon­cer la des­truc­tion pro­chaine de l’hu­ma­ni­té, allait écla­ter la Seconde Guerre mondiale.

Il est para­doxal qu’a­près la tenue de l’é­vé­ne­ment spor­tif le plus emblé­ma­tique et le plus impor­tant du monde, sau­vé du pas­sé dans le but de pro­mou­voir la paix et les liens d’a­mi­tié et de concorde entre les peuples de la terre, une guerre d’am­pleur apo­ca­lyp­tique ait écla­té aux mêmes endroits, les mêmes acteurs d’une socié­té dépo­si­taire de cet esprit olym­pique et fra­ter­nel, par­rai­née – pour aggra­ver les choses – par l’hôte alle­mand lui-même, et avec le résul­tat désas­treux et dévas­ta­teur que nous connais­sons tous.

L’Histoire a tou­jours ten­dance à se répé­ter. Malgré cela, l’hu­ma­ni­té a ten­dance à détour­ner le regard et à igno­rer les preuves, dis­traite par ce mélange de plai­sirs et de pro­blèmes quo­ti­diens qui rap­porte si bien à ces mêmes élites qui s’ef­forcent de nous faire pas­ser de la fra­ter­ni­té olym­pique au conflit de guerre, sans même que nous le sachions. Nous ne nous don­nons même pas la pos­si­bi­li­té de pen­ser que nous sommes manipulés.

JO sataniques Paris 2024

Aujourd’hui, nous assis­tons peut-être à l’annonce d’une nou­velle apo­ca­lypse dévas­ta­trice en pré­pa­ra­tion, sem­blable à celle qui s’est pro­duite en 1939. Il n’en est pas autre­ment. Les armées des ténèbres, qui ont récem­ment erré libre­ment dans cette « val­lée des larmes », ne se cachent plus, mais aiment affi­cher leur code sym­bo­lique et leurs pro­cla­ma­tions sata­niques par­tout où se déroule un évé­ne­ment de masse, quelle qu’en soit la nature.

Car, à par­tir de démons­tra­tions de force, fon­dées sur l’im­pu­dence, la moque­rie et le manque d’un mini­mum de modes­tie et de res­pect pour la tra­di­tion reli­gieuse la plus pro­fon­dé­ment enra­ci­née de l’Occident, le chris­tia­nisme, on a pu déduire, sans effort, que le spec­tacle auquel nous avons assis­té lors des céré­mo­nies d’ou­ver­ture et de clô­ture des Jeux olym­piques de Paris consti­tuent une décla­ra­tion d’in­ten­tions claire et forte. Satanique, pour être exact. Et apo­ca­lyp­tique, avec un double mes­sage de dévas­ta­tion et de mort au début, d’une part, et de sombre réani­ma­tion vers un Nouvel Ordre Mondial en clô­ture, de l’autre.

Si à l’ou­ver­ture des Jeux l’é­ta­lage de sym­boles sata­niques est deve­nu écra­sant, avec une abon­dance d’in­ver­sions de sym­boles chré­tiens (l’Eucharistie repré­sen­tée dans la Sainte Cène, le Christ sup­plan­té par une femme grosse et les­bienne, etc.), de fausses idoles, comme la pré­sence de Moloch (notre illus­tra­tion à la une), asso­cié à Saturne, et bien d’autres mes­sages apo­ca­lyp­tiques expli­cites (le cava­lier, le Styx, le bateau de Charon, etc.).

En conclu­sion, nous obser­vons que le sym­bo­lisme se concentre sur la repré­sen­ta­tion d’un scé­na­rio de dévas­ta­tion, qui pour­suit le réta­blis­se­ment d’un ordre de nature dys­to­pique aux mains d’un étrange être-insecte venant des étoiles.

Belzébuth - Seigneur des mouches - JO Paris 2024

Il s’a­git bien d’un mes­sage très inquié­tant, non pas tant à cause de la des­truc­tion annon­cée, qui est lar­ge­ment dif­fu­sée dans la plu­part des tra­di­tions mys­té­rieuses et/​ou reli­gieuses, mais à cause de la manière dont cette hypo­thé­tique résur­gence de l’hu­ma­ni­té aurait lieu pour cette enti­té qui n’est pas humaine.

C’est pour­quoi il convient de pen­ser qu’il pour­rait s’a­gir d’une repré­sen­ta­tion de Lucifer ou de l’Ange déchu. Plusieurs indices nous amènent à cette déduc­tion : l’en­droit du stade d’où se lance le per­son­nage dans son rôle d’in­secte anthro­po­morphe est éclai­ré d’une forme géo­mé­trique bleu­tée asso­ciée à sa sym­bo­lique luci­fé­rienne. De sur­croît le fait de « tom­ber » sur la carte du monde le révèle aus­si. Son aspect doré l’ex­prime sans ambi­guï­té (Lucifer : celui qui apporte la lumière), sa tête d’in­secte res­semble à une autre de ses défi­ni­tions (Belzébuth : le sei­gneur des mouches). C’est pour­quoi sa pré­émi­nence sur les nations s’exerce sur scène tout au long du spec­tacle. En effet, dès l’ou­ver­ture de ces Jeux Olympiques, toutes les nations, avec leurs porte-dra­peaux en tête, sui­vaient le cava­lier apo­ca­lyp­tique en tête du défilé.

Enfin le « virus des étoiles » (le « voya­geur doré », selon le repor­tage télé­vi­sé) des­cen­dra sur un monde fumant et dévas­té. À cela s’ajouteront les accords d’une musique sinistre, comme venue d’outre-tombe, et la lumière bleue nocive qui emplit tout le stade.

Il est impor­tant de sou­li­gner la place qu’oc­cupe la médaille olym­pique de ces jeux lors de la céré­mo­nie de clô­ture. Le ver­so repré­sente une carte sché­ma­tique de la Méditerranée sur le sol du stade. Entre Paris et Athènes on peut ima­gi­ner que l’ange déchu se dirige vers les côtes d’Israël :

Médailles olympiques Paris 2024 - Verso Médailles olympiques Paris 2024 - Recto

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Le rec­to de la médaille pré­sente un hexa­gone sombre d’où émergent des rayons dorés. On pour­rait affir­mer que nous sommes face au sym­bole sata­nique du soleil noir ou Saturne et, dans ce cas, à l’in­té­rieur du chaos post-apo­ca­lyp­tique. Considérons alors que la pré­sence sug­gé­rée d’Israël pour­rait consti­tuer une indi­ca­tion du lieu dans lequel cette sinistre enti­té serait véné­rée. Tout cela sug­gère-t-il qu’a­près la des­cente du stade, « l’in­secte étoile » vien­drait se poser à côté de la médaille olym­pique ou sym­bole de Saturne située dans la par­tie de la carte du monde qui cor­res­pond au ter­ri­toire d’Israël ?

On retrouve d’autre sym­boles aux inten­tions lugubres, comme le pre­mier être né de ce chaos, qui est la déesse Niké(1), divi­ni­té de la vic­toire et du triomphe (triomphe sur le genre humain ?), qui se dis­tingue éga­le­ment par le fait qu’elle est assi­mi­lée à la sta­tue dite « Victoire de Samothrace »(2), une figure sans tête qui pour­rait non seule­ment être liée au per­son­nage déca­pi­té de la céré­mo­nie d’ou­ver­ture, Marie-Antoinette, mais aus­si à ce Nouvel Ordre Mondial auquel pointe l’al­lé­go­rie mise en scène : un être sans tête repré­sente l’homme nou­veau dépour­vu de volon­té, c’est-à-dire le triomphe du transhumanisme.

JO sataniques Paris 2024

À par­tir de ce moment dans la repré­sen­ta­tion, des hommes de cou­leur fon­cée émergent des pro­fon­deurs de la terre, dépour­vus d’ex­pres­sion faciale, c’est-à-dire sans volon­té, tra­vaillant tous à l’u­nis­son à la tâche de sou­le­ver les anneaux olym­piques : allé­go­rie du nou­veau monde asser­vi en train de se recréer ?

Une com­pi­la­tion de scènes de ces jeux dans les­quelles des ath­lètes appa­raissent dans une atti­tude vio­lente et mena­çante laisse place à un concert de rock et de musique élec­tro­nique, qui culmine avec un solo de gui­tare élec­trique inter­pré­té par un sinistre homme enca­pu­chon­né. Alors la flamme olym­pique s’éteindra.

La connais­sance des inten­tions sinistres qui se cachent sous les appa­rences d’une célé­bra­tion d’exal­ta­tion des plus hautes valeurs humaines, comme une céré­mo­nie olym­pique, nous donne la hau­teur du type d’êtres aux­quels nous sommes confron­tés et leur manque d’empathie envers la race humaine carac­té­ris­tique bien défi­nie de la psychopathie.

À vous de tirer vos propres conclusions.

Pascual Uceda
pour ad alte­ra digital

NDLR : Dans la mytho­lo­gie grecque, Niké (en grec ancien Νίκη) est la divi­ni­té de la vic­toire et du triomphe qui a don­né son nom à la ville de Nice.

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Victoire Samothrace

La déesse Niké trou­vée sur l’île de Samothrace, dite « Victoire de Samothrace » (Musée du Louvre)

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2 Commentaires 

  1. Entièrement d’ac­cord avec l’ar­ticle de Pascual Uceda.
    Il serait bon que les Français se reprennent et réagissent.
    Il en va de leur ave­nir et de la France.

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    • Ce qui est d’a­bord inquié­tant c’est que les Dysney People orga­nisent le pro­ces­sus élec­to­ral dans notre pays aux 3 000 fro­mages et 60 000 clo­chers (- 50 par tri­mestre..).
      Contre chiens chauds et pétrole à bulle, ils ont tran­quille­ment pillé les bijoux de la famille France, avec l’aide inté­res­sée des plus vérolé(e)s d’entre nous. Clara et Anne, si vous nous enten­dez.. Que maître Cornecul ait pris les traits pou­pins de la star émule du Rond tubard, ou ceux du cri­quet doré en rap­pel, est moins pré­oc­cu­pant que le dérou­lé en plans B per­ma­nents que cette bande de tarés qu’on découvre aujourd’­hui en fait nomades apa­trides, nous réserve pour les jours à venir.
      Un scé­na­rio à l’Islandaise serait le top, un à l’Africaine post colo­niale avec Conseil de tran­si­tion semble en voie de géné­ra­li­sa­tion avec un gros coup de pied au cul à toutes les for­tunes faites sur le dos des hon­nêtes gens fina­le­ment réunis autour de quelques valeurs simples, voire sim­ple­ment morales. Un égré­gore de ce type vaut tous les penta­grammes et ce n’est pas près de changer.

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