
L’Occident et la droite nationale française face à l’anéantissement de Gaza
Par les exactions et les massacres commis à Gaza, l’Occident décadent se révèle dans toute sa turpitude. Il ne représente plus « l’Humanité » ou la « Communauté internationale » dans son ensemble, et heureusement, car ce mot, « Occident », restera dans l’Histoire lié à une infamie.
« L’Occident » est constitué d’un triptyque, ou d’une hydre à trois têtes, si vous préférez : Israël, l’Amérique et « l’Union européenne ». Israël dicte ses volontés à l’Amérique et l’Amérique dicte ses volontés à l’Europe de Bruxelles.
L’Occident unipolaire, qui avait étendu son emprise sur le monde, n’existe plus mais il refuse d’admettre cette évidence. Il a été remplacé par le monde multipolaire des BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud) et d’autres qui sont venus rejoindre cette nouvelle entité qui constitue, désormais, une alternative crédible et rassurante à ce vieux monde dépravé.
L’Occident va-t-il sombrer dans la mer de larmes et de sang qu’il a lui-même creusée et remplie à Gaza ?
Nous pouvons être étonnés que la droite nationale française ait choisi d’ignorer les principes de bon sens et de neutralité qui dictaient jusqu’alors les prises de position de la diplomatie française permettant ainsi à notre pays de pouvoir donner un avis pertinent sur les conflits qui agitent le monde lorsqu’il n’y est pas lui-même engagé.
La droite nationale française s’est rangée sans tergiverser, et avec un enthousiasme dérangeant, sous la bannière israélienne. Pourquoi ?
Quand la victime devient bourreau
Gaza : tout le monde a entendu parler de cette bande côtière au bord de la mer Méditerranée de 40 km de long sur 9 de large en moyenne (4 000 ans d’histoire(1), 2 millions d’habitants en 2023, 365 km2) ; une langue de terre qu’Israël bombarde quotidiennement depuis le 7 octobre 2023 dans le but d’en chasser ses habitants, les Palestiniens, ou, à défaut, de les éliminer physiquement afin de s’en approprier le territoire.
Cette volonté de confiscation d’une contrée qui ne vous appartient pas en éliminant sa population n’a rien d’inédit dans l’histoire du monde.
Ce qui est inédit, c’est que la population de Gaza est en passe d’être complètement éradiquée par des Israéliens qui, pour les plus âgés d’entre eux, ont eux-mêmes échappé à ce qui fut appelé un « holocauste », perpétré par le régime hitlérien.
Plus de 67 000 morts palestiniens, 80% de civils, dont 18 000 enfants, selon les derniers chiffres de l’Unicef.
Pour Tom Fletcher, le chef de l’humanitaire de l’ONU(2), la responsabilité d’Israël ne fait aucun doute. ʺC’est une famine du XXIe siècle, surveillée par des drones et la technologie militaire la plus avancée de l’histoireʺ(3), a‑t-il déploré.
Le Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits humains, Volker Türk, est allé plus loin. Si la famine est bien, comme il le pense, la conséquence directe des politiques du gouvernement israélien, certaines conclusions s’imposent du point de vue du droit international. « Recourir à la famine comme méthode de guerre constitue un crime de guerre, et les décès qui en résultent pourraient également constituer un crime de guerre d’homicide volontaire », a‑t-il déclaré(4). »
Plusieurs centaines de ces Palestiniens affamés ont été attirées par des remises de nourriture et ont été abattues à leur arrivée sur le lieu de distribution par l’armée israélienne : « Selon les Nations Unies, depuis le 27 mai, plus de 800 personnes ont été tuées par l’armée israélienne alors qu’elles tentaient de se procurer de l’aide. Les tirs visant des foules affamées se répètent, au point de transformer l’accès à la nourriture en un acte de survie à haut risque »(5).
On ne peut s’empêcher de penser à cette fête barbare et sanglante du Grindadráp pratiquée aux Îles Féroé (Danemark) qui consiste à déployer des bateaux afin d’encercler et de rabattre vers le rivage dauphins et baleines ; les bêtes échouées sont ensuite achevées au couteau et découpées sur place provoquant une marée de sang, et une marée d’indignation !
Il s’agit ici, dans le cas de Gaza, d’êtres humains. Mais, pour certains membres du gouvernement israélien, ce ne sont pas tout à fait des « humains » : ce sont des « animaux humains »(6).
Il est important de préciser que je n’assimile pas l’ensemble des Israéliens aux propos, aux agissements ni même à la position de leurs dirigeants. Dans tous les peuples, il existe une proportion variable de gens respectables et d’autres qui le sont moins. Nombreux sont les Israéliens à s’élever contre les atrocités commises par leur gouvernement et leur armée et à avoir le courage de les dénoncer publiquement.
Pendant ce temps, les masses occidentales farouchement indifférentes continuent à vivre, dans un monde d’illusion hédoniste, leur parcours somnambulique. Pour rien au monde, elles ne renonceraient à leur confort aseptisé imitant autant que faire se peut les trois singes : ne rien voir, ne rien dire, ne rien entendre.
Les personnes lucides n’ont pas cette chance : elles sont encore bien vivantes, elles, et elles assistent, pétrifiés, à la rencontre incongrue de deux entités maléfiques qui déploient tous azimuts leurs outils de dissolution du monde traditionnel :
• l’une est l’émanation de vapeurs méphitiques d’un monde ancien en décomposition,
• l’autre se pare des cuirasses d’acier robotiques de la haute technologie.
Un passé glauque et un avenir apocalyptique. Une autre façon plus dérangeante de voir l’archéofuturisme ?
Le massacre de Gaza préfigure le monde de la fin de l’Humanité qui voit toutes les valeurs inversées, en l’occurrence, la victime devenant bourreau et se délectant de vivre son nouveau statut.
Les Français sont-ils concernés par l’évolution de ce conflit, commencé en 1948, qui semble interminable ? C’est ce que nous allons ci-après examiner.
La droite nationale française et Israël
L’épouvantail LFI
On pourrait croire que le parti LFI ( La France Insoumise), dirigé par un personnage excessif et peu crédible, n’a été créé que pour constituer un épouvantail destiné à cristalliser la haine du bon bourgeois conformiste de « droite » contre tout ce qu’entreprennent et tout ce que représentent ces wokistes incultes et le détourner des vrais problèmes ; ainsi, la multiplicité des manifestations organisées par ces idiots utiles défilant avec force drapeaux palestiniens dans les rues parisiennes (et ailleurs) n’est là que pour appeler au rejet de tout soutien à Gaza et à sa lutte légitime à vivre sur ses terres. C’est pour cette même raison : détourner l’attention, que Macron a émis l’idée que la France pourrait reconnaître la Palestine dont il se fiche éperdument.
De même, l’autre « droite » dite « nationale » s’est laissé prendre au même piège tendu par les représentants du pouvoir mondialiste à tout ce qui constitue encore une force traditionnelle.
Nous allons rappeler quelques chausse-trapes ou « peaux de banane » insidieusement déposées par les tenants de la Pensée Unique sur le chemin du citoyen honnête en évoquant quelques articles écrits sur ce conflit qui mettent en relief une propagande mondialement orchestrée.
Rappel de quelques vérités sur ce conflit
• Le 11 septembre d’Israël (article du 18 octobre 2023) où nous apprenons que ce fameux 7 octobre 2023, une consigne avait dégarni les troupes basées à la frontière avec Gaza. Une représentante de Tsahal postée à la frontière s’en étonne.
Nous y apprenons par la voix d’Avi Primor, ancien ambassadeur d’Israël en Allemagne, en Belgique, auprès de l’Union européenne, que le Hamas est une création d’Israël.
Le Shin Bet, l’agence de renseignement israélienne, confirme que Netanyahou a financé le Hamas et « autorisé » l’opération sous faux drapeau du 7 octobre
Selon le Jerusalem Post : «…les politiques menées sous Netanyahou, que l’agence a qualifiées de problématiques et ayant contribué à la décision d’invasion du Hamas, comprenaient sa facilitation du financement qatari du Hamas et son opposition aux projets d’assassinat de hauts dirigeants du Hamas à l’époque ».
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Mais dès 2009 le sénateur républicain du Texas Ron Paul explique à la Chambre des Représentants (vidéo en anglais) que le Hamas a été créé par Israël pour servir les intérêts d’Israël avec l’aide des Américains.
Bien pire : Israël finance désormais l’État islamique pour lutter contre… le Hamas !
« Gaza : Benjamin Nétanyahou déclare qu’Israël a fourni des armes à des groupes criminels opposés au Hamas » (France Inter du 6 juin 2025(7).
• Et d’après vous, où iront ces plus de 2 millions de Gazaouis qui fuient les bombardements ? (article du 8 novembre 2023), où nous apprenons que, dès le 10 octobre 2023, les routes qui permettaient d’acheminer des vivres à la population de Gaza avaient été détruites par l’armée israélienne.
• Sortie de route : la droite nationale s’est-elle fracassée contre le Mur des Lamentations ? (article du 5 décembre 2023), où nous apprenons que l’extrême-droite parlementaire en France, toujours aussi pusillanime et collabo (et toujours du côté de celui qui est le plus en position d’exercer le Pouvoir) s’est rangée immédiatement après le 7 octobre sous la bannière d’Israël, sans se poser la moindre question « comme sous l’effet d’une impulsion quasi-clinique, pavlovienne, comme des animaux de laboratoire, comme les foules obéissant frénétiquement aux incantations du Big Brother de 1984, le célèbre ouvrage ʺcomplotisteʺ d’Orwell. »
Pourquoi ce ralliement sans condition de la droite nationale à Israël ?
Dans un article intitulé : L’extrême-droite et Israël : un cas de mimétisme clinique, daté du 7 août 2025, (Cercle antimoderne), Claude Bourrinet relève que les Français ont souvent été admiratifs devant l’envahisseur ou devant celui qui, pour des tas de raisons la plupart du temps irrationnelles, se trouve en position de « dominateur ». Je rappelai moi-même, dans un article passé, que les Français fascinés par l’étranger conquérant se rangeaient facilement aux vues de ce dernier. L’exemple le plus frappant est celui des « Gallo-romains », Gaulois devenus collabos de Rome après les tentatives désespérées de Vercingétorix pour rassembler les peuples gaulois contre l’envahisseur romain.
Il y a toujours un Gaulois, ou un Français, ou un groupe de Gaulois ou de Français, pour sauver l’honneur, heureusement.
« Assurément, » écrit Bourrinet, « l’Allemagne hitlérienne, conquérante et candidement nietzschéenne, ivre de volonté de puissance, tourna la tête à une partie du pays, qui se trouva alors très femme. L’admiration est aussi un mimétisme : on aimerait être le dominant, donc on le singe. N’est-ce pas le même pli qui explique la fascination de l’extrême droite pour l’État sioniste ? »
Cela peut constituer une hypothèse mais, pour ma part, je crois plutôt que nous avons ici affaire à l’ignorance de gens simples, éloignés de tout calcul et, pour cette raison, malléables et vulnérables.
C’est l’attitude typique du « patriote » qui réagit impulsivement aux stimuli qui lui ont été inculqués depuis de nombreuses années, un conditionnement quelquefois antinomique à celui qui le précédait, selon les besoins du moment des groupes de pression qui le manipulent.
Le patronat, depuis de longues années, avait persuadé les Français qu’il fallait importer des travailleurs étrangers parce que les Français ne voulaient plus « se salir les mains ». Ce qui est faux, car si le patronat avait consenti à payer correctement nos compatriotes, ils auraient fait comme dans tous les pays du monde : accepter un travail qui leur permettait de vivre décemment dans des conditions décentes.
Giscard et Chirac avaient favorisé l’immigration de masse en organisant le regroupement familial. La communauté des intellectuels juifs français appuyait ce type de mesure ; elle avait peur d’un Le Pen réputé antisémite et s’appuyait par contrecoup sur l’immigration et… sur le patronat.
Le patronat a donc pu, grâce à l’apport de travailleurs étrangers, baisser le niveau des salaires et loger Français et immigrés à la même enseigne d’un Smic famélique.
Puis, lorsque Marine Le Pen a succédé à Jean-Marie Le Pen et qu’elle a donné tous les gages possibles de sa soumission à l’Ordre Mondial, allant jusqu’à renier son père, la même communauté d’intellectuels a fait son mea culpa et a admis alors qu’elle s’était trompée d’ennemi et que le péril venait à l’évidence de ceux qu’elle avait fait venir en France par bateaux entiers quelques années auparavant.
Cette droite nationale est constituée majoritairement de bons Français simples et affables, amoureux de leur pays et voulant y vivre et y travailler en toute quiétude. La plupart de ses partisans ne peuvent être classés à l’extrême-droite, ce qui supposerait qu’ils disposent d’un minimum de formation politique. Ces braves gens ont, hélas, oublié les valeurs d’honneur et de dignité de la France éternelle — mais comment les connaîtraient-ils puisqu’elles ne sont plus enseignées ? – les valeurs que nos anciens maîtres d’école nous inculquaient, les valeurs chevaleresques telles que je les ai évoquées dans cet article : L’être « sigma » : « manipulation CIA-woke-LGBTQ+ ou résurgence des valeurs chevaleresques ? »(8), des valeurs qui sont l’ADN même de la France, celles qui sont censées protéger le faible et le démuni de l’arrogance du fort.
Non, cette nouvelle droite nationale, ou « patriote », non militante, trop confiante, trop naïve, trop médiatiquement façonnée, n’a jamais réalisé qu’elle était constamment manœuvrée par des gens qui se souciaient fort peu de son avenir, la ligne bleue des Vosges étant, pour les manipulateurs, remplacée avantageusement par celle du Jourdain. Les Français ignoraient le but avoué du chef de file de ces faiseurs d’opinion(9), Jacques Attali, but qu’il avait pourtant clairement énoncé à plusieurs reprises, notamment à Public Sénat le 16 février 2010 : « On peut imaginer, rêver d’un Jérusalem devenant capitale de la planète qui sera un jour unifiée autour d’un gouvernement mondial. »
C’est donc une population « réactionnaire » qui réagit immédiatement et instinctivement à ce qui la touche le plus dans sa vie de tous les jours : l’insécurité. Depuis des décennies, les Français sont victimes quotidiennement de vols, de viols, de meurtres barbares, une criminalité sans frein puisqu’elle n’est pas, ou peu, réprimée, causée majoritairement par des délinquants issus de l’immigration nord-africaine et sub-saharienne.
1972 : l’émergence du Front national
Cette droite patriote, constituée pour beaucoup de rapatriés d’Algérie, n’a cessé de voter, dès son émergence, pour le Front National, puis pour le Rassemblement national, n’y voyant aucune différence.
Dès l’apparition du F.N., le thème principal retenu fut celui de « l’immigration sauvage ». Il faut se rappeler que le F.N. est né du rapprochement du mouvement étudiant Ordre Nouveau (dont votre serviteur faisait partie) avec Jean-Marie Le Pen et quelques-uns de ses amis, le 27 octobre 1972 ; le 21 juin 1973, un meeting est organisé à La Mutualité à Paris par Ordre Nouveau qui poursuit ses activités en parallèle avec celles du Front National naissant ; le thème du meeting ? « Halte à l’immigration sauvage ! » Oui, déjà en 1973 !
« Les orateurs veillent à s’abstenir de tout propos à connotation racialiste. François Brigneau déclare : ʺLe peuple juif a gardé son intégrité parce qu’il ne s’est pas mélangé(10), mais nous n’avons pas de leçons à recevoir de la part de ceux qui ont mis les Palestiniens dans des camps ! »(11)
52 ans après, nous aurions aimé dire que rien n’a changé si ce n’est que la situation des Palestiniens s’est aggravée au point que nous pouvons craindre leur totale disparition.
D’autres applaudissent à cette perspective.
À l’heure où j’écris, fin août 2025, la quasi-totalité de la « droite nationale » s’est rangée derrière ses représentants, parlementaires ou non, pour soutenir, sans état d’âme, Israël dans son entreprise génocidaire et le massacre quotidien d’enfants innocents. Inconscience, indifférence, ignorance, ou terrifiant cynisme ?
52 ans après, je suis toujours d’accord avec feu François Brigneau.
La droite nationale française ne doit pas s’identifier à l’extrême-droite israélienne, bien plus radicale et bien peu exemplaire ; Israël est un État-voyou(12).
Le salut des Français ne viendra pas d’Israël
Le salut des Français ne viendra pas d’Israël, Israël ne considérant que son seul intérêt et n’étant guère préoccupé par le sort des Français. La situation des Français est bien différente de celle des Israéliens, et les « Arabes » d’Israël, les Palestiniens, dont 175 000 d’entre eux sont chrétiens, ne sont pas les mêmes que ceux de Dubaï ou d’Algérie, ou … de France.
Ce n’est pas Israël qui les débarrassera des criminels allogènes ; c’est la restauration de mesures fortes qui ramèneront au Pouvoir des âmes énergiques et déterminées qui sauront faire don de leurs personnes dans l’intérêt commun ; il ne faut guère compter sur la classe politique actuellement au Pouvoir qui, quel que soit le parti représenté, ne songe qu’à la sauvegarde de ses privilèges ; les Français n’ont pas besoin de paroles et de promesses qui ne seront pas tenues ; ils ont besoin de personnes avisées et désintéressées qui œuvrent efficacement au service de la patrie.
Cela a peu de chances de se produire, à moins d’une véritable révolution dans les semaines ou les mois qui viennent ; par deux fois, des élections truquées(13) avec l’assentiment tacite du RN ont porté au Pouvoir un psychopathe complètement allumé et, la prochaine fois, les Français voteront comme un seul homme pour ce même RN, un parti qui les a trahis 25 fois, qui s’est depuis longtemps rendu, ou vendu, à l’Ordre Mondial et qui suivra, le doigt sur la couture du pantalon, toutes les consignes des oligarques visant à faire disparaître définitivement leur pays.
Pour en revenir à ce qui se passe actuellement à Gaza et aux responsabilités qui incombent à ceux qui y commettent les pires exactions(14), quelles que soient les monstruosités qu’a pu – ou que peut – accomplir telle frange de tel peuple (il n’y a pas de peuple entièrement mauvais dans son ensemble), le meurtre, a fortiori l’assassinat prémédité d’un être innocent, vulnérable et sans défense, les prive du statut, de la dignité – je ne dirais pas du privilège – d’être un être humain et les retranche de cette communauté humaine.
Partout dans le monde, que l’on soit arabe, juif, gaulois, eskimo ou zoulou, l’innocence doit être sacrée.
Attenter volontairement à la vie d’un être innocent(15) tel un enfant, ou vulnérable, telle une personne âgée ou handicapée, ou attenter à son intégrité physique, doit être considéré comme le plus grand et le plus lâche des crimes par toute société humaine et puni en conséquence.
Si nous militons pour que la France ne s’engage pas dans des conflits qui ne la concernent pas directement, de telle sorte que la diplomatie française puisse conserver un statut d’analyste lucide et aider ainsi à la paix dans le monde, nous réalisons bien qu’il est impossible, au 21e siècle, de prétendre que telle ou telle tension à tel ou tel endroit de la planète, ne nous concerne pas.
Désormais, les causes qui les font naître sont tellement enchevêtrées qu’il est impossible qu’elles n’aient pas d’effet sur un pays comme le nôtre qui a cependant bien perdu de sa superbe depuis qu’il est dirigé par Macron et les crétins irresponsables qui l’ont précédé au même poste.
Et depuis qu’il s’est entièrement soumis à l’Union Européenne et donc à l’Amérique et donc à Israël, et donc à l’Ordre mondial. Aussi, n’est-il pas inutile de tenter d’ouvrir quelques prospectives (surprenantes) en lien avec ce dossier, avant de le fermer.
L’énigme khazare
La société israélienne est loin d’être une société monolithique ; multitude de courants religieux, culturels, philosophiques, spirituels, politiques, s’y côtoient et s’y affrontent quelquefois avec véhémence ; on y trouve le pire et le meilleur ; commençons par le pire, il est représenté par le gouvernement actuel et ceux qui le soutiennent.
Dans un article du Saker francophone du 20 août 2025, repris par SOTT, intitulé : Le cerveau rabougri d’une société nazifiée(16), l’auteur présente une thèse qui nous ramène à nouveau à la deuxième guerre mondiale, dénonçant un processus de « nazification » de la société israélienne actuelle, reprenant le thème de la victime qui devient bourreau ; cette analyse psycho-sociologique a ceci d’intéressant qu’elle donne une piste (qui se rapproche de celle de Claude Bourrinet évoquée plus haut) pour comprendre pourquoi les foules occidentales restent indifférentes aux massacres en cours à Gaza : « Cela commence par la déshumanisation de la population-cible – les Palestiniens qualifiés « d’animaux humains » ou de « terroristes », quel que soit leur âge ou leur situation. Cela continue avec la création d’une mythologie de victimisation perpétuelle qui justifie toute atrocité comme étant de la « légitime défense(17). Cela aboutit à une population tellement endoctrinée qu’elle manifeste pour le droit de violer des prisonniers palestiniens pendant qu’elle regarde des enfants mourir de faim et ne ressent que de la satisfaction […] Le plus effrayant est peut-être la participation enthousiaste des enfants à cette culture de la cruauté. Des vidéos circulent montrant de jeunes Israéliens chantant des chansons sur la destruction de Gaza,(18), des enfants célébrant la mort de Palestiniens et des adolescents posant avec des armes tout en faisant des blagues sur la « chasse aux Arabes ».
Un détail non négligeable est que la plupart de ces vidéos présentent des Juifs ashkénazes blancs se moquant des traits sémitiques des Palestiniens, d’une manière troublante, similaire à la façon dont les nazis décrivaient leurs victimes.
[…] Ce à quoi nous assistons est l’aboutissement de décennies d’endoctrinement pour le pouvoir nazi, masquée par un langage victimaire, finalement autorisée à devenir ce qu’ils faisaient semblant de détester : des Zio-(Ashke)nazis. »
L’auteur de cet article emploie un mot étonnant, une contraction de « Ashkenazes », les juifs originaires de l’est de l’Europe, et de « nazis » : « Ashkenazis ». Voyons pourquoi ce rapprochement insolite a été fait.
Il y a bien en Europe actuellement un État dont une bonne partie de l’armée se réclame ouvertement du nazisme, et qui est dirigé par… un juif : c’est l’Ukraine dont son ex-président (Zelensky n’est officiellement plus président depuis le 19 mai 2024) disait le 5 avril 2022 à Kiev : « Je pense que tout notre peuple sera notre grande armée. Nous deviendrons un “Grand Israël” ».
Il faut se souvenir que Stepan Bandera, qui proclama l’indépendance éphémère de l’Ukraine à Lviv le 30 juin 1941, et qui est considéré comme un héros par une partie des Ukrainiens, collabora avec l’Allemagne nazie en créant la Légion ukrainienne, sous commandement de la Wehrmacht. D’où cette curieuse cohabitation actuelle.
Il existe une autre étrange coïncidence qui va marquer le destin du peuple juif et dont l’action se situe dans la même région, puisqu’elle était le territoire d’un peuple turcique originaire du nord du Caucase, les Khazars, établi en royaume en Ukraine et dans la région alentour, entre le VIIe et le XIIIe siècle.
Et nous revoilà avec ce néologisme : Ashkenazis, car les Khazars sont quelquefois physiquement proches des slaves, souvent blonds aux yeux bleus, comme le sont certains juifs ashkenazes.
L’auteur de l’article précité relance involontairement une vieille polémique débutée en 1976, à l’époque où Arthur Koestler (1905−1983) fait paraître un livre intitulé : La Treizième tribu.
Deux personnages attachants, mais dérangeants pour l’Establishment : Arthur Koestler et Shlomo Sand, vont nous permettre de mieux connaître l’importance de ce peuple dans l’Histoire contemporaine.
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Arthur Koestler | Shlomo Sand |
Arthur Koestler
Arthur Koestler est un juif hongrois de langue allemande, il sera écrivain, journaliste, essayiste, de nationalité hongroise, britannique, autrichienne ; il vivra en Hongrie, en Autriche, en Palestine, en France, en Espagne, en Allemagne, en Angleterre, il sera communiste, puis anticommuniste, condamné à mort par les franquistes, il sera échangé contre la femme d’un pilote espagnol, cet aventurier s’engagera dans la Légion étrangère, écrira le roman qui l’a rendu célèbre : Le Zéro et l’infini, il vivra dans un kibboutz, sera le cofondateur du Betar (mouvement de jeunesse sioniste), on trouvera même le nom de ce journaliste intrépide, sorte de Tintin de l’Est, dans le Comité de patronage de… Nouvelle École, à la création de cette revue de la Nouvelle Droite.
Bref, une vie bien remplie qui donne le tournis.
Et donc, en 1976, il fera paraître cet ouvrage qui va bouleverser les connaissances que nous avions sur l’origine du peuple juif et de ses douze tribus car il va en ajouter une treizième, d’où le titre de son livre : La Treizième tribu dans lequel « il défend la thèse selon laquelle les Juifs d’Europe de l’Est et leurs descendants, c’est-à-dire les Ashkénazes, ne descendent pas (ou peu) des anciens Israélites, mais principalement des Khazars, un peuple originaire de la région du Caucase du Nord qui a été converti (par ses dirigeants, NDLR) au VIIIe siècle au judaïsme et aurait migré plus tard vers ce qui est aujourd’hui l’Europe de l’Est, sous la pression de tribus nomades venues d’Asie centrale. Koestler se réfère aux travaux de l’historien israélien Abraham N. Poliak. » (Wikipedia)
Évidemment, cette thèse crée des remous en Israël, mais aussi en Amérique où le récit biblique constitue la base religieuse, et au-delà, de la vie américaine, mais aussi au sein de la diaspora juive partout dans le monde car elle casse le dogme de l’antique origine du peuple juif élu par Dieu ; d’autant plus que la présentation que Koestler fait de son ouvrage n’arrange pas les choses : « Ces lignes ont été écrites à une époque où l’on ne connaissait pas encore toute l’étendue de l’holocauste nazi, mais cela ne change rien au fait que la grande majorité des juifs survivants vient de l’Europe orientale et qu’en conséquence, elle est peut-être principalement d’origine khazare. Cela voudrait dire que les ancêtres de ces juifs ne venaient pas des bords du Jourdain, mais des plaines de la Volga, non pas de Canaan, mais du Caucase, où l’on a vu le berceau de la race aryenne ; génétiquement ils seraient apparentés aux Huns, aux Ouigours, aux Magyars, plutôt qu’à la semence d’Abraham, d’Isaac et de Jacob. S’il en était bien ainsi, le mot « antisémitisme » n’aurait aucun sens : il témoignerait d’un malentendu également partagé par les bourreaux et par les victimes. A mesure qu’elle émerge lentement du passé, l’aventure de l’empire khazar commence à ressembler à une farce, la plus cruelle que l’Histoire ait perpétrée »(19).
Shlomo Sand
Shlomo Sand, né le 10 septembre 1946 à Linz en Autriche, est un historien israélien, professeur à l’université de Tel Aviv depuis 1985.
C’est un francophone qui a fait ses études universitaires à Paris dans les années 1970 où il a soutenu une thèse sur le philosophe Georges Sorel ; il est l’organisateur en 1982 d’un colloque à Paris sur ce même personnage.
En 2008, il écrit un livre pour le moins iconoclaste : Comment le peuple juif fut inventé(20), reprenant en partie les thèses de Koestler quant aux origines du peuple juif ; son ouvrage sera qualifié par les historiens israéliens conformistes de « mythe de l’origine khazare des Ashkénazes par conversion ». Selon Sand, « l’invention » d’une histoire nationale continue serait l’œuvre de sionistes du début du XXe siècle. Même s’il admet la réalité d’un « peuple yiddish » existant en Europe de l’Est, peuple qui sans être une nation possédait une civilisation et une culture populaire moderne, l’auteur conteste l’existence réelle d’un peuple juif international. » (Wikipedia, Comment le peuple juif fut inventé).
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Nous ne serons pas étonnés que le livre de Sand ait reçu un accueil pour le moins mitigé en Occident.
Ainsi, Sand dit que la « grande presse parisienne (Le Monde, Le Figaro, Libération…) ne lui a pas consacré le moindre compte rendu… ». Son livre a réussi quand même à franchir les barrières de la censure occidentiste en recevant en 2009 en France le Prix Aujourd’hui qui récompense un « ouvrage politique ou historique sur la période contemporaine ».
Aux États-Unis, la communauté néo-conservatrice juive n’a pas du tout aimé le passage du livre de Sand concernant l’origine khazare des Israélites « qui déconstruit l’idée d’un droit au retour fondé sur des notions ethniques » ; on s’en serait douté…
En 2013, Shlomo Sand, qui souhaitait que la Palestine soit reconnue dans ses frontières, édite un nouvel ouvrage polémique : Comment j’ai cessé d’être juif, dont il résume ainsi le thème : « Supportant mal que les lois israéliennes m’imposent l’appartenance à une ethnie fictive, supportant encore plus mal d’apparaître auprès du reste du monde comme membre d’un club d’élus, je souhaite démissionner et cesser de me considérer comme juif. »
Le Grand Israël
Dans un article du 22 décembre 2024, Syrie, les racines du chaos(21), j’évoquais le mythe sioniste du « Grand Israël », mythe expansionniste soutenu avec ferveur par les groupes sionistes avec à leur tête Netanyahu, qui s’appuient sur les écrits bibliques, « la Terre promise par Dieu aux Enfants d’Israël », pour revendiquer les territoires des pays voisins de l’actuelle Israël incluant la Palestine, bien sûr, la Jordanie, le Liban, une partie de la Syrie, de l’Irak, de l’Égypte et de l’Arabie saoudite. Vaste projet.
Ces revendications ne reposent pour l’instant que sur des allégations religieuses, les archéologues n’ayant, par exemple, rien trouvé des vestiges des temples et palais « recouverts d’or » du Xe siècle avant notre ère, comme celui de Salomon, minutieusement décrit par les textes sacrés. « Il n’existe aucune donnée archéologique indiquant qu’une des grandes constructions trouvées sur l’étendue géographique correspondant à Israël ait été bâtie par Salomon effectivement. »
« Concernant les tribus juives mentionnées dans la Bible, ni leur nom ni leur situation géographique ne sont attestés par l’archéologie, ni dans aucune archive, ni sur aucune inscription. » (Wikipedia : données archéologiques sur David et Salomon).
On peut comprendre que les thèses avancées par Koestler et Sand aient pu fortement déplaire aux promoteurs de ce projet de « Grand Israël ».
Ce qui ne veut pas dire que ni le temple de Salomon, ni les tribus juives en question n’existent pas ou n’ont jamais existé ; après tout, il a fallu pas moins de 24 campagnes de fouilles pour mettre à jour les 9 villes de Troie…
La vérité finit toujours par sortir du puits, mais elle n’est pas toujours aussi belle qu’on l’espérait.
Pierre-Émile Blairon
« Gaza vit depuis si longtemps sous le régime de la guerre et du blocus qu’on en oublie sa longue histoire et ce qu’elle fut vraiment : l’une des villes les plus anciennes de la région, un carrefour très animé où se rencontrent la Syrie, l’Égypte, l’Arabie et la Méditerranée. Dans le cadre de ce cycle de conférences “Gaza, 4000 ans d’histoire”, Maurice Sartre (professeur émérite d’histoire ancienne, Université de Tours) vous propose de la découvrir. »
https://sorbonne-tv.pantheonsorbonne.fr/haute-antiquite-lepoque-romaine
280 employés de l’ONU ont été tués par l’armée israélienne
https://news.un.org/fr/story/2025/03/1154081
Jacques Attali :
« Il faudrait organiser la venue de deux millions d’étrangers par an entre 2020 et 2040 ».
Bernard-Henri Lévy :
« Nous prétendons être contre l’immigration illégale, mais nous en avons besoin et tâchons de lui faire bon accueil. »
Daniel Cohn-Bendit :
« Il serait bon que le pourcentage d’étrangers atteigne un jour le tiers de la population. La barque est loin d’être pleine, elle est même trop vide. »
Bernard Kouchner :
« À 28 pays, l’Europe doit être capable d’accueillir tous les migrants. Tout le monde doit se sentir concerné, des pays qui bordent la Méditerranée aux pays scandinaves. »
Julien Dray :
« Les clandestins nous aident à construire la France. Et souvent, ils la construisent encore mieux que les Français de souche. »
Rav David Touitou (rabbin éminent donnant des cours presque quotidiens sur Internet):
« Ce que je vous ai dit tout l’heure est marqué dans le Sanhédrin. Le Mashiah [le Messie] ne viendra que lorsqu’Edom, l’Europe, la Chrétienté, sera totalement tombée. Donc je vous pose la question : c’est une bonne nouvelle que l’Islam envahisse l’Europe ? C’est une excellente nouvelle, ça annonce la venue de Mashiah ! » (extrait de Mashiah où es-tu ? cours filmé)
De fait, le judaïsme interdit les mariages entre juifs et non-juifs.
Article « Ordre nouveau » dans l’encyclopédie Metapedia :
J’y inclus les actes de barbarie et de torture à l’encontre des animaux qui sont aussi des êtres innocents.
Mantra repris par la « droite nationale » française pour justifier le massacre de dizaines de milliers de civils palestiniens : « Israël a bien le droit de se défendre. » Une troupe entraînée, surarmée et suréquipée qui se « défend » contre des enfants sans armes ? Belle armée que voilà !
Arthur Koestler, La Treizième tribu, Last Century Press
Chez Fayard en 2008
Les articles du même auteur
Pierre-Émile Blairon est l’auteur d’un certain nombre de livres liés à l’Histoire, notamment de la Provence, de Nostradamus à Giono et à la fin du Cycle :












Très bon article !
Très bon examen des connaissances actuelles de la population européenne ayant participé au judaïsme réputé de base, avec encore de nos jours des idées et profils non crédibles ! Je crois que la tribu khazare est précise et explique les différences physiologiques de certains israélites, et je garde le souvenir du Général Dayan des années 60 plus proche de Yul Brynner que des Palestiniens en service ! J’ai aussi le souvenir du pape Paul VI se rendant en Israël et reçu par des militaires plus occidentaux que les Gaulois !
Ancien militant de Jeune Europe et des étudiants nationalistes (en Belgique), j’ai été un moment proche des comités Palestine, puis j’ai connu et rencontré beaucoup de Juifs et d’Israéliens avec qui j’ai sympathisé et dont certains sont encore proches. Donc si je partage le mot d’ordre de Terre & Peuple : ni kippa ni keffieh, j’avoue avoir de la sympathie pour le peuple israélien et surtout aucune empathie pour les Palestiniens qui, pour moi, ne sont ni un peuple ni une nation.
Cela étant, j’ai beaucoup apprécié l’article très érudit de Pierre-Émile.
L’ancien rat noir approuve votre article haut la main 😀 Grandeur décadence déchéance de ce qui fut la « droite nationale » ! Honneur sauvé par les NR ! Lire ou relire « Nuremberg ou la terre promise » … et bien sûr Pierre Gripari (L’Histoire du Méchant Dieu /Le devoir de blasphème), et pourquoi pas « Les Mythes fondateurs… » (Garaudy). Qu’ajouter à cette analyse de la situation du peuple d’élite sûr de lui-même et dominateur ? La fondation de l’entité sioniste s’est faite par le terrorisme en bandes organisées et son existence se perpétue par les mêmes moyens en mode de gouvernement.
Mais surtout, après 80 ans de propagande médiatique et culpabilisation de TOUTES les générations, par tous les moyens, mais auto-financées par les impôts et taxes de tous les Citoyens des diverses villégiatures (pas folle la guêpe) ! Le hasard n’existe pas, avec ce genre d’engeances, tout est manipulation sournoise depuis longtemps… voire : Générationnelle !!!
Comme l’a bien dit cette crapule classieuse de Mitterrand : « Ce serait l’entretien de la haine »… « La France n’a pas à présenter d’excuses ».
Amusant de voir qu’en fin de vie, un ex-président se lâche enfin. Oui il y a une minorité la haine éternelle de nos aïeux qui ne vit que de l’entretien de la haine, mais fait voter des lois qui la protège.
À croire que toute la vie tourne autour de cette infime minorité toxique, dissolvante des identités qui ne sont pas la sienne, atteinte d’hybris vétérotestamentaire.
N’associez pas Nietzche avec l’époque hitlérienne. C’est que vous ne l’avez pas lu ou pas compris. La volonté de puissance est une force vitale, c’est dépasser ses propres limites, rien à voir avec une volonté de domination des autres…
Merci de ne pas faire d’amalgames.
Pour le reste, nous nous souviendrons longtemps en effet de cette inaction morbide, une honte pour la France !
Merci !
Nous veillons à mettre en italiques et entre guillemets les propos des auteurs que nous citons ; l’auteur de « l’amalgame » que vous contestez et dont nous n’avons pas omis de mentionner le nom n’est pas l’auteur de l’article et, de surcroît, Pierre-Émile Blairon précise qu’il n’est pas en accord avec l’hypothèse de Claude Bourrinet.
Merci pour ce remarquable article qui, hélas, ne sera pas repris par les mass-medias « mainstream »… car
dirigés par QUI l’on sait et qui ne diffusent que de la propagande à la « Bernays ».
Très belle étude.
Fuir les mythes. Accepter la réalité, la froide réalité.